L'entraîneur de l'équipe de France ne sait toujours pas encore de quoi son futur sera fait après le prochain Euro. L'intransigeance de Noël le Graët, président de la FFF, à propos de son contrat pourrait l'amener à rejoindre l'Italie où le banc de l'Inter Milan est une option envisagée. Pourrait l'amener à rejoindre l'Italie où le banc de l'Inter Milan est une option envisagée.
Malgré la victoire convaincante des Bleus en Allemagne, l'avenir de Laurent Blanc ne sera pas clarifié avant le mois de juillet.
L'Inter en crise
Claudio Ranieri est aujourd'hui un entraîneur plus que contesté. Lors de son arrivée en remplacement de Gasperini, l'ancien entraîneur de la Roma avait réussi à redresser les résultats du champion d'Europe 2010. La lune de miel avec le club de Massimo Moratti a pris subitement fin depuis le milieu du mois de janvier. Orphelin de la moindre victoire lors des 9 derniers matches, Claudio Ranieri a de fortes probabilités de quitter le club à court terme.
Blanc, habitué des lieux
Dans son édition du jour, le Parisien annonce que le président de l'Inter songe à Laurent Blanc pour relancer son équipe. Ce choix tiendrait du palmarès du sélectionneur national, champion de France 2009, mais également de son passé intériste. Blanc connait la maison italienne puisqu'il y fut joueur de 1999 à 2001.
Des concurrents prestigieux
Le Français n'est cependant pas la seule option privilégiée par Massimo Moratti. La liste des entraîneurs envisagés est prestigieuse : Pep Guardiola, Fabio Capello ou le tout fraîchement licencié André Villas Boas pourraient venir s'installer sur le banc de Giuseppe Meazza.
Même s'il a affirmé sa volonté de prolonger l'aventure avec les Bleus, Laurent Blanc sait désormais que les propositions de remplacement ne manqueront pas.
HENAULT-MOREL/TF1
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