Arsenal et Wenger reprennent espoir

Vainqueur dans un scénario complètement fou du derby nord-londonien face à Tottenham (5-2), Arsenal se relance après la 26eme journée de Premier League. Les Gunners veulent surfer sur l'enthousiasme qu'a suscité le résultat.
Il flottait comme un parfum de magie dans les travées de l'Emirates Stadium, dimanche en fin d'après midi. 
 


Revenus de l'enfer
Menés 2-0 après 35 minutes de jeu, seuls les irréductibles fans des canonniers pouvaient encore penser en une fin positive pour leur équipe. Et c'est pourtant le scénario qui s'est écrit lors de la suite de la rencontre. En un peu moins de 30 minutes, les joueurs d'Arsène Wenger ont marqué cinq buts et renversé la situation pour infliger une véritable correction au voisin de Tottenham. Victime de sifflet en début de rencontre, Theo Walcott symbolise ce redressement grâce à un doublé.

Soutenez Wenger !
Le président d'Arsenal, Ivan Gazidis, a profité de ce résultat favorable pour encourager les supporters à maintenir leur soutien envers Arsène Wenger : «  Nous comprenons les préoccupations de nos fans [...] mais je peux vous affirmer que l'équipe, le coach et les joueurs sont unis pour faire le job jusqu'à la fin de saison » a-t-il assuré au Daily Mail dans un plaidoyer pour l'entraineur français.  

Arsène n'abdique pas

Ce succès inespéré a provoqué un regain d'espoir du côté du banc londonien puisqu'Arsène Wenger a retrouvé l'optimisme. A la lutte avec Chelsea pour la quatrième place en Premier League, le coach tricolore assure que la dernière marche du podium, occupée par Tottenham à 7 points des Gunners, reste toujours prenable « C'est toujours possible si nous continuons sur notre lancée » selon ses propos rapportés par le Guardian.

L'Alsacien se permet même d'affirmer que son équipe essayera de jouer la qualification en huitième de finale retour de la Ligue des champions contre le Milan AC, la semaine prochaine, malgré la déroute (0-4) du match aller.

 Source : tf1.fr

Real Madrid : José Mourinho décroche un nouveau record

Le leader de la Liga a poursuivi son incroyable série en championnat en venant à bout du Rayo Vallecano (1-0), dimanche sur la pelouse de son voisin madrilène. Grâce à une talonnade inattendue, Cristiano Ronaldo permet à son entraîneur de renforcer son empreinte sur le football espagnol.
En un an et demi sur le banc de la Maison Blanche, José Mourinho commence déjà à affoler les statistiques.


50 victoires en 62 matches
Le succès du Real Madrid face au Rayo Vallecano s'est fait dans la douleur mais il permet au club de la capitale de maintenir un écart de 10 points par rapport au second barcelonais. Sur ses 20 derniers matches, les madrilènes en ont emporté 19 pour une seule défaite à domicile contre Barcelone (1-3). Ce week-end, José Mourinho  a surtout obtenu sa 50eme victoire de championnat en seulement 62 matches (6 nuls, 6 défaites).

Mieux que Guardiola
Depuis la création de la Liga, l'entraîneur portugais est le premier à atteindre ce chiffre symbolique en aussi peu de temps. L'ancien détenteur de ce record n'était autre que Pep Guardiola qui avait eu besoin de 67 matches pour obtenir 50 succès lors de la saison 2009-2010. Fabio Capello ou Johan Cruyff n'avaient pas fait mieux que leurs contemporains.

Nouvel objectif en Ligue des champions
Ces records statistiques se confrontent pour l'instant à un palmarès plutôt faible pour José Mourinho à la tête du Real Madrid. La seule victoire en coupe du Roi, la saison dernière, ne peut satisfaire l'appétit du Portugais. Bien placé pour le titre en Liga, l'ancien entraîneur de Chelsea cherche avant tout à remporter la Ligue des champions pour devenir le premier coach à remporter la coupe aux grandes oreilles avec trois clubs différents (Porto 2004, Inter 2010).

Cette quête vers un record de plus placerait définitivement José Mourinho parmi les entraîneurs les plus chevronnés de l'histoire.  

 Source : tf1.fr

FC Barcelone : Guardiola ne croit plus au titre en Liga

Le champion d'Espagne s'est imposé dimanche sur le terrain de l'Atletico Madrid (1-2) lors de la 26eme journée de la Liga. Malgré cette victoire, Pep Guardiola a fait part de sa résignation quant aux chances de son équipe de remporter le championnat cette saison.
Sacré à trois reprises en Liga depuis son arrivée à la tête de Barcelone, Guardiola s'est fait une raison : il ne gagnera pas le championnat en 2012.


Ecart trop important

La victoire acquise dans la douleur au stade Vicente Calderon n'a pas provoqué plus d'enthousiasme dans les rangs catalans. Quelques heures plus tôt, le Real Madrid s'était imposé face au Rayo Vallecano (1-0) et maintenait son avance de 10 points sur son rival. En conférence de presse, Pep Guardiola a confirmé que les espoirs de Liga étaient nuls : « Nous ne remporterons pas la Liga car nous ne pourrons remonter notre retard. Mais nous continuerons à nous battre » a assuré l'ancien milieu de terrain.

Messi va pouvoir se reposer

Une nouvelle fois essentiel dans la victoire des siens contre Madrid grâce à un coup franc joué rapidement, Lionel Messi reste à une longueur de Cristiano Ronaldo dans le classement des buteurs. Critiqué pour ne pas lui accorder de repos en Liga, Guardiola a joué de malice avec les journalistes ibériques : « Messi pourra se reposer lors de la prochaine journée, à l'instar de Pepe ». Le meneur de jeu argentin est en effet suspendu pour le prochain match du Barça pour avoir reçu cinq avertissements, tout comme le Brésilien du Real Madrid.

Piqué ménagé

L'entraineur catalan a également été interrogé sur l'absence de titularisation pour Piqué en défense centrale. Alors que des rumeurs de conflits entre les deux hommes ont fleuri durant les dernières semaines, Pep Guardiola a affirmé que ce choix avait été pris suite à une alerte musculaire lors du dernier entrainement. Gérard Piqué est néanmoins rentré en jeu pour les cinq dernières minutes de jeu.

Si les espoirs en championnat semblent effacés pour les joueurs catalans, la finale de la coupe du Roi face à Bilbao et la Ligue des champions deviennent les deux derniers objectifs prioritaires pour éviter une saison blanche.

 Source : tf1.fr

Ligue 1 : le PSG a évité le pire

A l’issue d’un match particulièrement fertile en rebondissements, Paris arrache le résultat nul dans le temps additionnel grâce à l’inévitable Hoarau. Il cède toutefois son fauteuil de leader à Montpellier.


Dans la folie d'un match fini à 4-4, le meilleur comme le pire font aussi nul. Que retenir ? Que mené 4-2, le PSG a su arracher le partage des points, un point qui vaudra sûrement cher à la fin de la saison et ne le laisse qu'à une longueur de Montpellier, nouveau leader. Ce Paris-là, une semaine après avoir remonté les Héraultais à domicile (2-2), refuse donc avec acharnement la défaite, affichant caractère et mental.
Mais c'est tout le reste qui inquiète. Avec trois buts encaissés en cinq minutes, un laxisme sur coups de pied arrêtés et une défense qui explose, le PSG s'est présenté hier aux portes de l'enfer où les flammes l'ont léché sans jamais le brûler totalement. Le voilà qui chute de son trône, laissant Montpellier dans la position du chassé, un rôle aussi surprenant que compliqué pour les Sudistes. On verra à l'usage mais ce n'est pas forcément là que les Parisiens ont réalisé la plus mauvaise affaire. Non, ce nul miraculeux confirme une tendance, celle d'un Paris plus du tout sûr de rien. Il commence à craquer, se liquéfie, étale sa fragilité à la face de la Ligue 1, qui ne manquera pas d'appuyer là où ça fait mal.

Des occasions à la pelle 
C'est d'ores déjà l'un des matchs de l'année et il convient de féliciter Lyon qui en général est dans ces coups-là. On se souvient ainsi du 5-5 contre Marseille en novembre 2009. L'OL et le PSG ont surtout livré une rencontre de l'intensité et du rythme de la Ligue des champions, toujours passionnante, avec un nombre d'occasions à noircir un cahier neuf. Au jeu du match de Coupe d'Europe, l'équipe de Jean-Michel Aulas connaît la musique et pas seulement l'hymne qui accompagne l'entrée des deux formations sur la pelouse. Les fausses notes de Paris lui rappellent que, comme pour le titre de champion de France, rien ne se décrète.
 Laminés dans l'engagement, les hommes de Carlo Ancelotti ont plongé dans l'enfer pendant cinq minutes, asphyxiés à chaque occasion lyonnaise. De la 35e à la 40e minute, la défense a chaviré, pilonnée par des buts adverses sublimes. On a senti: à 3-1, il y avait effectivement un goût de cendres au PSG. Mais il n'a jamais renoncé, une ténacité qui a donné ses habits dorés à la partie. A 3-2 à la pause, une vie semblait encore possible, quelque part entre le nul et une victoire aussi improbable que renversante. Finalement, le PSG a opté pour le nul héroïque. C'est bien aussi. Ancelotti n'a pas encore perdu en France et c'est comme si les miracles existaient pour lui.


Source : leparisien.fr/

Espagne: le Real et le FC Barcelone à l'arraché

Cristiano Ronaldo, buteur d'une talonnade contre le Rayo Vallecano, et Lionel Messi, auteur d'un joli coup franc face à l'Atletico Madrid, ont offert des succès étriqués au Real Madrid (1-0) et au Barça (2-1), figeant les positions en tête de la Liga lors de la 25e journée.


Le Real conserve dix points d'avance sur son dauphin barcelonais à 13 journées de la fin.
Dimanche soir, les Blaugrana ont failli perdre encore du terrain sur la pelouse de l'Atletico, qui était invaincu en neuf matches depuis l'arrivée sur son banc de l'Argentin Diego Simeone en janvier.
Peu inspirés, ils ont dû leur salut à une inspiration de Messi, qui a nettoyé sur coup franc la lucarne du gardien local Courtois à la 81e et soulagé ainsi les siens après une très mauvaise seconde période, contrastant fortement avec la première.
En début de match, le Barça, avec son onze de gala, a contrôlé le ballon, d'abord de manière stérile, même si Messi s'est vu refuser un but pour s'être aidé de la main, alors qu'il s'était habilement joué de Courtois (7e).

A la demi-heure de jeu, alors que l'Atletico osait enfin se découvrir, le Barça accélérait à nouveau pour prendre l'avantage. Messi démarrait ainsi plein axe et décalait côté gauche Fabregas, qui centrait aussitôt pour Alves. Le Brésilien ne laissait aucune chance à Courtois (36e).
Quelques minutes plus tard, les locaux avaient la chance de revenir immédiatement au score, mais Valdes interceptait un centre du Turc Arda Turan (38e).
Au retour des vestiaires, les Colchoneros élevaient cependant leur niveau de jeu et s'en voyaient aussitôt récompensés. Sur un corner de la droite, Busquets prolongeait involontairement le ballon au second poteau, où guettait Falcao qui égalisait (48e).
Falcao était ensuite tout près de signer un doublé, Valdes bloquant toutefois bien sa tentative de lob (67e).Proches du KO, les Blaugrana étaient une fois de plus sauvés par leur "Messi".

Un Real tremblant, mais vainqueur
Le Real Madrid a lui aussi vécu un match compliqué face à un Rayo batailleur et pressant haut.
Les Blancs, gênés par les puissants attaquants du Rayo comme le montrait le coup de coude volontaire de Sergio Ramos à l'ailier Diego Costa (20e), n'ont dû leur succès qu'à une inspiration de Ronaldo, auteur d'une talonnade magique (53e).
Après ce but, les locaux n'ont pas baissé les bras, mais Michu a manqué l'immanquable face à Casillas (73e), avant que le gardien du Real ne détourne une superbe frappe des 30 mètres de Casado (74e).
Toutes ces occasions manquées d'un cheveu provoquaient une certaine nervosité sur le banc du Real qui voyait Rui Faria, adjoint de Mourinho, être exclu pour protestation (65e).
Le Rayo, réduit à dix dans les dernières minutes après l'exclusion de Michu, ne parvenait cependant pas à rejoindre un Real tremblant, mais vainqueur.
De son côté, Valence, toujours 3e, s'est incliné (2-1) à domicile contre le FC Séville.
Villarreal, 17e et premier non relégable, a lui obtenu un bon match nul à domicile face à l'Athletic Bilbao (2-2).
Au classement, ce match nul ne fait pas les affaires de l'Athletic (5e), qui cède la 4e place à Levante, vainqueur samedi sur la pelouse de l'Espanyol Barcelone (8e).

Résultats de la 25e journée:
Samedi:
Santander - Sporting Gijon      1 - 1
Betis Séville - Getafe               1 - 1
Malaga - Real Saragosse          5 - 1
Espanyol Barcelone - Levante 1 – 2

Dimanche:
Villarreal - Athletic Bilbao        2 - 2
Rayo Vallecano - Real Madrid   0 - 1
Real Sociedad - Majorque          1 - 0
Valence CF - FC Séville             1 - 2
Osasuna Pampelune – Grenade   2 - 1
Atletico Madrid - FC Barcelone  1 – 2

Source : leparisien.fr/

FC Barcelone - Keita : nous ne voulons plus perdre des points

Le milieu du terrain du FC Barcelone décrit la rencontre de demain comme étant capitale pour la suite.
 

Keita considère la saison comme longue et peut tout cacher, mais le Barça ne doit pas entrer dans ces calculs, la seule route aboutissant est de ne plus perdre des points précieux.

Selon Keita le Real Madrid se veut comme un grand gagnant mais : "Nous allons faire le meilleur de nous même pour gagner le maximum de matchs".

Le Malian met son propre futur à coté pour le bien de son équipe, sa participation dans la CAN était un peu difficile mais il fera des mains et des pieds pour que le Barça reprend la voie de la gloire.

source; FC Barcelone

C Barcelone – Atletico Madrid : le duel entre Messi et Falcao

Dimanche soir à Madrid, le FC Barcelone affrontera l’Atletico pour empêcher l’autre club de la ville, le Real, de s’échapper en tête de la Liga. Et Leo Messi croisera Falcao, autre goleador prolifique.
 
 

Si le Barça est aujourd’hui à 10 points du Real Madrid, et que le titre semble s’être dangereusement éloigné, ce n’est sans doute pas la faute de Leo Messi, auteur de 27 buts en 23 apparitions en championnat.  

Messi et Falcao, machines à marquer
L’attaquant colombien, rojiblanco depuis cet été, a lui inscrit 14 buts lors de ses 20 premiers matches de Liga. Un bilan qui en fait le 3ème meilleur buteur du championnat, derrière Messi et Cristiano Ronaldo, en tête de la course au Pichichi avec 28 buts. Arrivé de Porto pour plus de 40 millions d’Euros, Falcao offre des buts et des points à son équipe dans le style qu’on lui connaît : opportuniste, adroit, bon de la tête. Mais il ne peut compter sur la même équipe que Messi : l’Atletico est 6ème à … 29 points du Real.  

Un premier duel qui a tourné court  

La première fois que Messi et Falcao se sont croisés sur les pelouses de Liga, c’était le 24 septembre dernier, et la « Puce » n’avait fait qu’une bouchée du « Tigre » : le Barça avait écrasé l’Atletico 5-0, et Messi avait marqué un triplé. Beaucoup de choses ont changé depuis : le Barça semble condamné à abandonner son titre à l’ennemi madrilène, et les colchoneros n’ont plus perdu depuis décembre. Il leur restera à contrôler Leo Messi, auteur de 14 buts en 11 matches face à l’Atletico Madrid.  

Simeone admiratif devant le Barça
Diego Simeone est devenu l’entraineur de l’Atletico fin décembre (club où il a évolué en tant que joueur), avec des résultats plutôt convaincants. Comme beaucoup, il loue ce qui semble rester la meilleur équipe du monde malgré des résultats moins brillants : « C’est un match difficile, et nous devons trouver un moyen de leur faire du mal. Je ressens de l’admiration pour leur œuvre, comment ils arrivent à continuer à gagner et rester motivés. J’admire Guardiola et ses joueurs ».

Rendez-vous demain soir à 21h30 à Vicente Calderon, pour un choc entre deux grands clubs espagnols aux ambitions certes différentes. Avec un match dans le match entre deux buteurs sud-américains qui ne manquera pas d’être déterminant.

Source : tf1.fr

FC Barcelone : Cesc Fabregas : « Nous avons nos chance »

Le milieu de terrain du FC Barcelone estime qu’il faut continuer à rêver au titre…


Débarqué d’Arsenal l’été dernier, Cesc Fabregas s’est véritablement intégré à ses coéquipiers du FC Barcelone. Auteur de 15 buts en 24 matchs, le néo-Blaugrana a déjà remporté 3 titres en 6 mois d’activité dans le club catalan. « En général la première année dans un club est difficile, mais comme j’ai été formé dans ce club, c’est plus facile de s’adapter au Barça » explique-t-il.

Avec 10 points de retard au championnat, le milieu de terrain reste optimiste : « On continue de rêver. Nous sommes en forme pour notre prochain déplacement à Vincente Calderon. Nous devons continuer à livrer de belles performances et nous aurons encore toutes nos chances » précise l’international espagnol.

Il enchaine avec le sujet à la mode à Barcelone : « Pep M’a donné beaucoup de confiance et je sais qu’il est homme de parole. Le Barça est toujours meilleur avec lui, mais le Barça continuera à vivre même sans lui ».

Source : elbarca

FC Barcelone : pourquoi Maxwell est venu au PSG

Recruté par le PSG lors du mercato hivernal, Maxwell parle de ses motivations.


Le latéral brésilien est une recrue de choix pour le Paris Saint-Germain, il y apporte toutes ses expériences acquises au Barça, à l’Ajax et à l’Inter. Tout le monde pense que c’est une raison pécuniaire qu’il l’a poussé à partir, lui s’explique…

« Ce n’est pas une question d’argent, il aurait été plus facile de rester dans le plus grand club du Monde, celui qui pratique le plus beau jeu. Je connais Leonardo, j’ai une très bonne image de lui. Il m’a fait sentir la volonté du PSG de devenir un grand club européen dans ces prochaines années. Signer à Paris, c’est un choix fantastique, pour un club ambitieux, dans une capitale si attirante, c’est le meilleur cocktail qu’il soit ».

Lorsque les journalistes lui demandent de comparer Pep Guardiola et Carlo Ancelotti, il explique : « il existe beaucoup de similitudes dans la préparation des grandes équipes. Quelques divergences sur la préparation physique, mais tout est basé sur la possession du ballon. La grosse différence est que le FC Barcelone est une équipe avec le jeu enraciné alors le PSG y travaille encore ».

Bien qu’il souhaite réussir son aventure parisienne, le brésilien n’oublie pas que la prochaine Coupe du Monde se déroulera dans son pays en 2014. L’idée de faire partie de la Seleçao lui turlupine dans la tête, mais interrogé, il prétend actuellement que : « c’est plus un rêve, c’est encore loin… ».

source: elbarca

FC Barcelone: Gaston Ramirez pour remplacer Seydou Keita

Les dirigeants du FC Barcelone envisagent de recruter Gaston Ramirez, le milieu de terrain de Bologne, lors du prochain mercato estival.


L'international malien du Barça, Seydou Keita, devrait quitter le club catalan en juin prochain. En effet, Pep Guardiola, le coach catalan, ne souhaite pas conserver l'ancien joueur de l'OM dans son effectif la saison prochaine. Un départ que devrait pallier l'arrivée de Gaston Ramirez, le joueur de 21 ans de Bologne. L'international uruguayen est l'un des joueurs les plus convoités de la Serie A. En effet, Gaston Ramirez enchaîne les belles prestations avec le maillot du club italien (4 buts en 21 matches) et il a même été supervisé par des émissaires du club blaugrana lors de la victoire de son équipe face à l'Inter Milan (3-0).
Toutefois, le journal Daily Mail affirme que les champions d'Europe auront une rude concurrence sur ce dossier car plusieurs clubs du Vieux Continent souhaitent obtenir la signature du footballeur. Arsenal serait même disposé à offrir un montant de 12 millions d'euros à Bologne  lors du prochain mercato estival. Younes Belhanda (Montpellier) et Lucas Biglia (Anderlecht) sont les autres pistes suivies avec attention par Sandro Rosell, le président du FC Barcelone, pour renforcer le milieu de terrain de son équipe la saison prochaine.

Source : chronofoot

Le FC Barcelone suspendu aux lèvres de Guardiola

Le FC Barcelone vit ces jours-ci dans la satisfaction d’avoir retrouvé son jeu à l’occasion de la correction infligée à Valence dimanche (5-1), mais aussi dans une incertitude: son entraîneur Pep Guardiola renouvellera-t-il son contrat à la fin de la saison ?


La direction du Barça a ainsi beau s’affirmer confiante, les récents propos du technicien catalan, laissant transparaître une certaine usure, inquiètent le club blaugrana et son entourage. Au point que le journal catalan Sport titrait dans son édition de dimanche: «Tenemos un problema» (Nous avons un problème).
Samedi, avant la démonstration du Barça au Camp Nou face à Valence (5-1), Guardiola avait en effet déclaré «avoir encore besoin de temps» pour «être au clair» sur son choix de prolonger ou non son contrat, qui arrive à échéance à la fin de cette saison. «Je ne le sais pas encore, j’ai besoin de davantage de temps. Je ne peux pas travailler dans un club si exigeant si je ne suis pas sûr d’être en possession de toutes mes forces», avait ainsi expliqué le coach catalan. Face à cette indécision, de nombreuses voix se sont élevées ces derniers jours au sein de l’institution blaugrana pour inciter Guardiola à rester. A commencer par les joueurs. Les principaux cadres du vestiaire barcelonais ont ainsi rivalisé de déclarations pour amener Pep à resigner.
Messi, à peine sorti du Camp Nou où il a inscrit dimanche un quadruplé, a ouvert le bal: «Nous voulons que Guardiola poursuive au nom de tout ce qu’il représente pour nous». D’autres lui ont emboîté le pas, comme Piqué: «Il est la pièce maîtresse de cette équipe, nous voulons qu’il continue», ou encore Iniesta: «Avec Guardiola, il nous reste encore beaucoup de grandes choses à vivre».
 Jusqu’à Xavi, homme fort du vestiaire et ancien partenaire de jeu de Guardiola, qui s’est même fendu d’un pronostic: «Je pense que Guardiola finira par résigner».

Déclarations d’amour  du Barça à Guardiola

Ces déclarations d’amour en cascade sont d’autant plus intenses que le doute qu’a laissé planer Guardiola par ses propos semble tenace.
Pourtant, la direction du club se montrait, elle, assez sereine. «Nous n’éprouvons ni doutes, ni nervosité. Nous avons pleinement confiance en Pep, la même que nous lui témoignons depuis sa première année d’entraîneur», a déclaré samedi le directeur sportif du club, Andoni Zubizarreta. L’élan de soutien des joueurs du Barça envers leur entraîneur peut en tout cas avoir son importance dans le choix final de Guardiola. L’ancien joueur du Barça, qui a pris la direction de l’équipe première en 2008, remportant notamment en tant qu’entraîneur trois fois la  Liga et deux Ligues des champions, se trouve actuellement devant un dilemme: d’un côté pèsent la routine et la difficulté de se maintenir sans cesse au plus haut niveau, de l’autre le défi de poursuivre l’aventure avec un groupe auquel il est attaché. Quant au timing de sa décision, le journal catalan El Mundo deportivo, constatant que Guardiola, lors de ses renouvellements de contrat précédents (en 2010 et 2011), avait toujours livré sa réponse au cours de semaines sans compétition pour le Barça, faisait remarquer que la semaine de matches internationaux du 27 février serait peut-être le moment où Pep lèverait le voile sur son avenir.

Source : libération

Les grands d’Europe veulent délester le Barça de ses jeunes talents

Si le Barça regorge de talents dans son centre de formation, le club catalan doit toutefois jouer des coudes pour les conserver.


Être capable d’aligner une équipe composée à plus de 50% de joueurs formés au club et être sur le toit du monde est une qualité exceptionnelle que tout le monde envie au FC Barcelone. Mais si la politique sportive des Blaugrana leur permet de réaliser de belles économies sur le marché des transferts, elle présente tout de même certains risques : celui de voir toute une ribambelle de clubs tenter de faire leurs emplettes dans le vivier catalan.

Du coup, pour éviter de revivre un épisode Fabregas, parti du Barça à l’âge de 16 ans, le champion d’Europe en titre n’a pas tardé à blinder les contrats de quelques-uns de leurs grands espoirs ayant fait des apparitions en équipe première (Thiago, Rafinha, Cuenca, Montoya). Néanmoins, certains cracks en devenir menacent toujours de s’exiler. C’est le cas du jeune Cristian Tello. À 20 ans, ce dernier a été promu chez les pros cette saison et affiche déjà un bilan prometteur de 2 buts en 4 matches de Liga. Seul souci, son contrat se termine en 2013.

Une situation contractuelle qui va une nouvelle fois forcer le Barça à s’activer pour régler ce dossier le plus vite possible, car de nombreux clubs sont à l’affût selon Mundo Deportivo. Valence, Málaga, Benfica et Liverpool pour être plus précis. Promis à un rôle de remplaçant, Tello sera-t-il sensible aux sirènes étrangères ou préférera-t-il poursuivre sa formation au sein de l’actuel meilleur club au monde ? Le natif de Sabadell n’est en tout cas pas le seul concerné puisque le journal pro Barça ajoute que d’autres jeunes pousses (Sergi Roberto, Marc Bartra, Martín Montoya, Rafinha Alcántara ou Jonathan Dos Santos), dont le bail a pourtant été prolongé, sont également fortement courtisées en Europe.

Source : footmercato

Henrik Larsson: « Xavi est le meilleur footballeur »

L'ancien attaquant du FC Barcelone, Henrik Larsson, affirme qu'il a été impressionné par le talent de Xavi lors de son passage en Catalogne.


L'ancien international suédois Henrik Larsson a évolué durant deux saisons avec le maillot blaugrana (19 buts en 59 matches). L'ancien buteur vient d'indiquer que la Ligue des Champions remportée en 2006 face à Arsenal (2-1) reste son plus beau souvenir: "C'était superbe de gagner ce titre, surtout que je l'ai fait quand j'avais 34 ans !", a indiqué l'ancienne star du Celtic Glasgow dans les pages du journal Sport avant de préciser: "Je suis vraiment très heureux d'avoir participer à cette finale car j'ai aidé le club à gagner sa deuxième Ligue des Champions."
Henrik Larsson a également précisé que Xavi Hernandez est le joueur le plus impressionnant qu'il a rencontré dans sa carrière: "Ronaldinho est l'un des meilleurs joueurs du monde", a expliqué l'ancien Red Devil, mais je pense que Xavi est le meilleur footballeur avec lequel j'ai joué. La façon dont il se déplace et il ne perd jamais un ballon sur le terrain... J'ai beaucoup appris avec Xavi."

Source : chronofoot.com

Liga / Xavi : 10 points, c'est injuste !!!

"Dix points, c'est injuste par rapport à la manière de jouer de FC Barcelone", a déclaré Xavi en marge d'une conférence de presse pour une opération commerciale. Le milieu barcelonais et son équipe, deuxième de Liga, ont dix points de retard sur le leader, le Real Madrid au classement.
 

Xavi n'estime manifestement pas que l'écart de dix points au classement entre le Real Madrid et le FC Barcelone en Liga soit justifié. "Nous voulons remonter cet écart de dix points, qui est injuste compte tenu de la manière de jouer du Barça", a déclaré le milieu barcelonais lors de la conférence de presse pour la présentation de ses nouvelles chaussures. "Ce sont des détails qui ont établi cet écart de dix points. Dans les moments clés, à quitte ou double, nous n'avons pas eu de chance. Mais nous allons lutter jusqu'au bout, la Liga n'est pas encore perdue", a-t-il poursuivi.
Le milieu de terrain a toutefois également reconnu qu'"inconsciemment", le Barça avait "peut-être levé le pied". "Nous sommes toujours performants. Mais inconsciemment, l'équipe ne s'est peut-être pas rendue compte et a levé le pied". En Liga, le Barça pêche en effet par son bilan en matches à l'extérieur: cinq matches nuls et deux défaites (contre Getafe 1-0 et contre Osasuna Pampelune 3-2). Une faiblesse qu'il n'affichait pas lors des précédentes saisons.

"Entraîner ? Laissez-moi tranquille, laissez-moi jouer !"
Au milieu de l'incertitude qui pèse actuellement sur le renouvellement de contrat de l'entraîneur catalan Pep Guardiola, qui expire à la fin de la saison, Xavi a une nouvelle fois fait part de son envie de voir rester le technicien à la tête du club blaugrana. "J'aimerais beaucoup que Pep resigne, il est l'élément clef de toute la machine".
Enfin, interrogé sur la possibilité que lui-même prenne les rênes du Barça en tant qu'entraîneur, le milieu international a écarté clairement cette possibilité. "Laissez-moi tranquille, laissez-moi jouer. Je ne pense pas à autre chose qu'à jouer au football. Et puis, je n'ai même pas le brevet d'entraîneur", a conclu Xavi.

Source : (AFP) / Eurosport

FC Barcelone : Piqué de retour en Angleterre

Gerard Piqué pourrait retrouver la Premier League la saison prochaine. Selon le quotidien Metro UK, deux clubs voudraient s'attacher les services du joueur de Barcelone : Manchester United et Chelsea. 
 
 
Gerard Piqué (25 ans), le défenseur espagnol de Barcelone, pourrait revenir en Premier League. D’après le quotidien Metro UK, Manchester United, qui l’a lancé au plus niveau en 2004, et Chelsea, aimeraient le recruter l’été prochain. Le Barça ne s’opposerait pas à un départ car Pep Guardiola reproche à son international espagnol son manque d’implication dans le club et sa dispersion dans des activités extra-sportives avec sa petite amie Shakira.

Source : maxifoot.fr

Le Barça envisage un après-Guardiola

Le feuilleton autour du renouvellement du contrat de Josep Guardiola n'en finit pas d'inquiéter les supporters du FC Barcelone. Malgré les déclarations rassurantes des cadres de l'équipe, plus les semaines passent et plus la possibilité de voir l'Espagnol se retirer prend de l'ampleur. Etat des lieux.


Alors que son contrat se termine à la fin de la saison, Josep Guardiola assure n'avoir toujours pas pris de décision concernant son futur au sein du club catalan. Interrogé la semaine dernière, le technicien du Barça avait encore une fois laissé planer le doute.
«Je ne peux pas travailler dans un club aussi exigeant si je ne suis pas convaincu d'en avoir la force. J'ai besoin de temps. J'ai toujours dit que je ne serais jamais aussi bien qu'au Barça mais je n'ai pas encore pris ma décision», avait-il déclaré. Tandis que les joueurs barcelonais ne cessent d'encourager leur coach pour qu'il prolonge, les dirigeants des Blaugrana commenceraient sérieusement à étudier des solutions de repli.
V. Valdes – «c'est l'âme de l'équipe»
Le collectif catalan est unanime. Les joueurs ne veulent pas voir partir celui qui les a conduits au sommet du football espagnol et européen. Les cadres du Barça ont tous eu un mot pour Guardiola à l'issue de la large victoire de leur équipe contre le FC Valence dimanche dernier en championnat (5-1).
«Il nous reste des choses merveilleuses à vivre avec Guardiola», affirmait pour sa part Andrés Iniesta. Le gardien du club Victor Valdes était encore plus explicite : «Je lui ai dit qu'il ferait une grosse erreur en nous quittant même si je sais que c'est lui qui prendra la décision le moment venu. Pour moi, il doit continuer encore de longues années. C'est l'âme de cette équipe.»
Luis Enrique en plan B ?
Bien qu'ils refusent d'envisager publiquement le départ de leur entraîneur fétiche, les dirigeants barcelonais savent que Guardiola pourrait décider de quitter le navire avant qu'une fin de cycle s'amorce du côté du Camp Nou. Face à cette situation, le boss du Barça Sandro Rosell aurait commencé à étudier quelques solutions de repli en prenant en compte les caractéristiques particulières qu'un entraîneur doit réunir pour prétendre entraîner le Barça.
Selon le quotidien Sport, l'une de ces solutions mènerait à l'actuel coach de l'AS Rome et ancien entraîneur de l'équipe réserve de Barcelone Luis Enrique. Sur le modèle de Guardiola en 2008 qui était passé de l'équipe B à l'équipe première, les dirigeants estiment qu'il est préférable de nommer un entraîneur qui connaît déjà le fonctionnement de l'équipe, les joueurs et la philosophie du club. Les supporters du Barça devraient être fixés sur l'avenir du technicien catalan dans quelques semaines. L'année dernière, Guardiola avait annoncé sa prolongation le 8 février...
Source : Pablo Garcia/maxifoot.fr

FC Barcelone : Piqué de retour en Angleterre ?


Gerard Piqué pourrait retrouver la Premier League la saison prochaine. Selon le quotidien Metro UK, deux clubs voudraient s'attacher les services du joueur de Barcelone : Manchester United et Chelsea.
Gerard Piqué (25 ans), le défenseur espagnol de Barcelone, pourrait revenir en Premier League. D’après le quotidien Metro UK, Manchester United, qui l’a lancé au plus niveau en 2004, et Chelsea, aimeraient le recruter l’été prochain. Le Barça ne s’opposerait pas à un départ car Pep Guardiola reproche à son international espagnol son manque d’implication dans le club et sa dispersion dans des activités extra-sportives avec sa petite amie Shakira.
Source : (AFP) / Eurosport

Gerard Piqué pourrait retrouver la Premier League la saison prochaine. Selon le quotidien Metro UK, deux clubs voudraient s'attacher les services du joueur de Barcelone : Manchester United et Chelsea.




Gerard Piqué (25 ans), le défenseur espagnol de Barcelone, pourrait revenir en Premier League. D’après le quotidien Metro UK, Manchester United, qui l’a lancé au plus niveau en 2004, et Chelsea, aimeraient le recruter l’été prochain. Le Barça ne s’opposerait pas à un départ car Pep Guardiola reproche à son international espagnol son manque d’implication dans le club et sa dispersion dans des activités extra-sportives avec sa petite amie Shakira.


FC Barcelone: Guardiola et sa prolongation

Si Josep Guardiola n’aurait pas pris le malin plaisir de faire durer le suspense. L’entraîneur du FC Barcelone n’a toujours pas signé sa prolongation avec la bande à Lionel Messi et du côté des socios, on se demande franchement si le technicien, qui se plaît à ne signer que des contrats de courte durée, sera bien à la tête des Blaugranas en 2012-2013. Il y a quelques mois, le président Sandro Rosell espérait «  des rois mages la signature de Pep Guardiola ». Espoir déçu.


Pour sa prolongation au FC Barcelone, Guardiola a raté les rois mages et la Saint-Valentin

Il y a quelques jours, la presse catalane annonçait que le club allait offrir la prolongation de son entraîneur fétiche aux supporters pour la Saint-Valentin. Voilà qui aurait été une bien jolie preuve d’amour en effet, mais là encore, Josep a décidé de rester muet. Alors forcément aujourd’hui, on s’inquiète à Barcelone. Au point de commencer à imaginer un plan B en cas de départ de coach Guardiola. Eleconomista avant donc plusieurs noms ce lundi, qui pourrait succéder à celui de Guardiola. Parmi eux, on retient notamment celui de Luis Enrique, l’ancien coach de la réserve du Barça, qui officie actuellement en Italie, à l’AS Rome.

L’étrange clause supposée de Luis Enrique pour rejoindre le FC Barcelone

Selon Eleconomista, Luis Enrique disposerait d’une clause dans son contrat, lui permettant de tout simplement quitter son poste en Serie A, si le FC Barcelone avait besoin de lui). Les autres noms avancés par les médias se nomment Joachim Löw, Marcelo Bielsa, Ernesto Valverde et… Arsène Wenger. Pendant que la presse s’agite, Josep Guardiola, lui, a décidé de rester muet. Et ce sont ses joueurs qui tentent de monter au créneau, à l’image du milieu de terrain Xavi. La star espagnol assurece lundi que « oui, Josep Guardiola va prolonger au FC Barcelone« . Qu’en pense l’intéressé ? On en sait toujours rien… Au passage, rappelons tout de même qu’aujourd’hui, Josep Guardiola est déjà le 2e entraîneur le mieux au monde avec un salaire de 10 millions d’euros annuel, à égalité avec un certain Jose Mourinho au Real Madrid…

Source : Palissarde /sportune.fr

PSG-MHSC: Nicollin a offert la prime de victoires !

Le match PSG – MHSC de dimanche s’est soldé par un match nul 2-2 en cloture de la 24e journée de Ligue 1, dimanche. Mais du côté de Montpellier et ses 36 millions d’euros de budget annuel, on n’est pas peu fier d’avoir tenu tête à l’équipe la plus riche du championnat et ses 150 millions d’euros de budget. Du côté du président Louis Nicollin, le résultat du Parc des Princes sonne donc comme une victoire et c’est ce que le dirigeant veut prouver à ses protégés en leur offrant pour la rencontre la prime… de victoire.

Pour le MHSC, le nul face au PSG sonne comme une victoire
            C’est en tout cas ce que Loulou affirme, ce lundi, dans l’émission de RMC, Luis Attaque. « Les trois dernières minutes, je me suis ch… dessus, commente Nicollin avec son franc-parler légendaire. On a pris un point et on va se préparer pour le match de Bordeaux. Ils ont eu la prime de victoire au lieu de celle du match nul. » Une bonne nouvelle pour Olivier Giroud et sa bande, mais n’allez pas croire que cela suffise à rattraper l’énorme écart de rémunération qui existe entre Héraultais et Parisiens (pour s’en rendre compte en chiffres, voir les salaires des joueurs du PSG). Si on ne connaît pas le montant précis des primes de victoire de cette saison au MHSC, chez Sportune, on se souvient qu’il y a encore un an, celles-ci ne dépassaient pas les 1500 euros, contre 300 euros pour le match nul.

Loulou Nicollin a offert la prime de victoire pour le nul au PSG
                Ce lundi, Montpellier figure toujours à la 2e place de la Ligue 1, à un petit point du PSG et avec 8 points d’avance sur le 3e, le champion de France Lillois. A noter que Louis Nicollin, lui, n’a pas fait le déplacement au Parc des Princes ce week-end et est resté à Montpellier pour assister à la rencontre. « Je me suis dégonflé au dernier moment, déplore-t-il. Je n’en pouvais plus. A 16h, au moment de partir avec l’avion, j’ai eu mal au ventre et je me suis dit : ‘je rentre chez moi’

Source : foot01.com
Voici les voitures des stars du PSG
L'Audi R8 Spyder de Javier Pastore

PSG-MHSC: Nicollin a offert la prime de victoires !

Le match PSG – MHSC de dimanche s’est soldé par un match nul 2-2 en cloture de la 24e journée de Ligue 1, dimanche. Mais du côté de Montpellier et ses 36 millions d’euros de budget annuel, on n’est pas peu fier d’avoir tenu tête à l’équipe la plus riche du championnat et ses 150 millions d’euros de budget. Du côté du président Louis Nicollin, le résultat du Parc des Princes sonne donc comme une victoire et c’est ce que le dirigeant veut prouver à ses protégés en leur offrant pour la rencontre la prime… de victoire.


Pour le MHSC, le nul face au PSG sonne comme une victoire

C’est en tout cas ce que Loulou affirme, ce lundi, dans l’émission de RMC, Luis Attaque. « Les trois dernières minutes, je me suis ch… dessus, commente Nicollin avec son franc-parler légendaire. On a pris un point et on va se préparer pour le match de Bordeaux. Ils ont eu la prime de victoire au lieu de celle du match nul. » Une bonne nouvelle pour Olivier Giroud et sa bande, mais n’allez pas croire que cela suffise à rattraper l’énorme écart de rémunération qui existe entre Héraultais et Parisiens (pour s’en rendre compte en chiffres, voir les salaires des joueurs du PSG). Si on ne connaît pas le montant précis des primes de victoire de cette saison au MHSC, chez Sportune, on se souvient qu’il y a encore un an, celles-ci ne dépassaient pas les 1500 euros, contre 300 euros pour le match nul.

Loulou Nicollin a offert la prime de victoire pour le nul au PSG

Ce lundi, Montpellier figure toujours à la 2e place de la Ligue 1, à un petit point du PSG et avec 8 points d’avance sur le 3e, le champion de France Lillois. A noter que Louis Nicollin, lui, n’a pas fait le déplacement au Parc des Princes ce week-end et est resté à Montpellier pour assister à la rencontre. « Je me suis dégonflé au dernier moment, déplore-t-il. Je n’en pouvais plus. A 16h, au moment de partir avec l’avion, j’ai eu mal au ventre et je me suis dit : ‘je rentre chez moi’

Voici les voitures des stars du PSG: L'Audi R8 Spyder de Javier Pastore

        source: foot01.com




Nantes rate le coche

Nantes avait l’occasion de revenir à trois longueurs du podium en cas de succès lundi soir face à Metz. Mais les Canaris sont tombés sur une solide équipe messine qui ramène un bon nul de Loire-Atlantique (0-0).

Nantes – Metz :   0-0
 
 Les Nantais n’ont pas échappé aux sifflets de La Beaujoire à la fin du match. Incapable de forcer le verrou messin, Nantes doit se contenter du nul après deux victoires consécutives à la maison. Un coup d’arrêt pour le FCN qui avait pourtant la possibilité de se rapprocher un peu plus du podium en cas de succès face à une équipe lorraine qui n’avait plus joué un seul match depuis le 27 janvier, conditions climatiques obligent. Et pourtant l’équipe de Landry Chauvin peut se mordre les doigts d’avoir gâché les rares occasions qui se sont offertes à elle. Pancrate doit encore regretter son duel perdu face à M’Fa en fin de match (88e), l’unique action chaude d’une seconde période bien terne. Auparavant, Metz avait eu son lot d’occasions. Mais Bouby, sur coup-franc, trouvait le poteau de Riou (35e). Et Steimetz, qui profitait de l’absence de Traoré, blessé à la CAN, pour fêter une première apparition en Ligue 2, voyait son tir passer de peu à côté (43e).

Pourtant Landry Chauvin décidait d’aligner d’entrée son nouveau 4-4-2 qui avait porté ses fruits les journées précédentes (victoires devant Tours et Châteauroux). Avec Bessat et Pancrate sur les ailes et Raspentino en soutien de Djordjevic, la machine nantaise était lancée, mais allait rapidement s’enrayer. Mis à part un tir de Ngoyi repoussé par M’Fa (22e) et une reprise à côté de Vivian dans la foulé (23e), le public nantais assistait à une bien triste prestation de ses protégés. D’autant qu’à la pause, le FCN perdait Djordjevic, touché à la cheville. Et ce n’est pas Wiltord, entré en jeu, qui allait dynamiser la formation du président Kita. Nantes, trop brouillon et imprécis, se heurtait à une équipe messine bien en place qui a finalement obtenu ce qu’elle était venue chercher : le point du match nul. Les sifflets de La Beaujoire en fin de match laissaient progressivement place aux regrets. Nantes n’a pas su remporter ce match charnière qui lui aurait permis de revenir à trois points de Clermont.

Le joueur du match :
 Il a été le seul à surnager dans l’effectif messin. On attendait Duhamel, implacable buteur aux huit réalisations cette saison, on aura vu Sadio Mané. Le  jeune Sénégalais de 19 ans a fait mal aux Nantais par ses accélérations et sa vision du jeu. Mais à lui tout seul, il aurait été difficile de faire la différence dans ce match cadenassé.

On n’a pas aimé :
 Nantes débute mal cette semaine charnière. En cas de victoire face à Metz, les Canaris avaient l’occasion d’accrocher le podium vendredi en se déplaçant à Clermont. Mais le manque d’agressivité et de conviction, voire de créativité, ne leur a pas permis de trouver le chemin des filets. Michel Der Zakarian, le coach auvergnat, a dû apprécier.

Résultats de la 24ejournée :
Vendredi 17 février
Angers – Lens    1-1
Arles-Avignon – Monaco    2-1
Bastia – Reims    1-0
Châteauroux – Istres    0-2
Guingamp – Boulogne    1-1
Laval – Amiens    3-1
Sedan – Troyes    1-2
Tours – Clermont    2-1
Le Mans – Le Havre    3-1
Lundi 20 février
Nantes – Metz    0-0


source: sport24.com

Coupe de France PSG-OL à l'affiche des quarts

PSG-Lyon sera l'affiche des quarts de finale de la Coupe de France, prévus les 20 et 21 mars prochains. Montpellier ira défier le GFCO Ajaccio en Corse, Marseille ira à Quevilly ou à Orléans. Valenciennes recevra Rennes.


Vu les têtes d'affiche présentes au rendez-vous des quarts de finale cette année, difficile d'éviter un voire deux chocs au moment du tirage au sort. Le rugbyman Julien Malzieu et le boxeur Jérôme Thomas ont finalement annoncé une superbe affiche entre le Paris Saint-Germain et Lyon. Les deux équipes se retrouveront donc le 20 ou 21 mars prochains avec les demi-finales en ligne de mire. Les Rhodaniens auront l'occasion de faire oublier leur défaite au Parc des Princes en Championnat (2-0) le 2 octobre dernier.
Du National pour Montpellier et Marseille

L'autre affiche entre clubs de Ligue 1 mettra aux prises Valenciennes, tombeur au tour précédent du tenant du titre lillois, et Rennes.  Montpellier et Marseille ont quant à eux hérité d'un tirage plus clément contre des équipes de National.  Les Héraultais iront affronter le GFCO Ajaccio à François-Coty (puisque leur stade Ange Casanova n'est pas homologué). L'OM ira quant à lui à Quevilly ou Orléans, qui s'affrontent mardi soir en match en retard.

Réf : lequipe.fr

Espagne Liga: Messi porte le Barça face à Valence

C’est fini au Camp Nou, et quel match ! match à sens unique par contre, car cela a été une vraie démonstration des blaugrana ce soir devant leur public.


Le match avait plutôt mal débuté pour les hommes de Guardiola car Valence, sur sa seule action du match a ouvert le score à la 9ème minute par Piatti, sur une très beau centre de Feghouli … Valdès sur cette action n’est pas exempt de tout reproche et aurait sans nul doute se saisir du ballon avec un peu d’attention !

Ensuite, la machine s’est mise en route, enchainement des passes, et les actions se sont multipliées à vitesse grand V. Le Barça a trouvé des espaces dans le dos des défenseurs de Valence, et à chaque fois, l’action allait jusqu’à un tir cadré.

Heureusement pour Valence, Diego Alves qui est sans aucun doute possible l’homme du match coté Valence, a sauvé son club a 10 reprises au moins, que ce soit devant Alexis, devant Fabregas, Pedro ou même Messi à bout portant pourtant.

Mais Valence pourtant 3ème du classement n’a pas tenu le choc face à un barça des grands jours, et les buts se sont enchainés. Messi signe ce soir un quadruplé, et une passe décisive pour Xavi sur le 5ème but.

Iniesta a été le métronome de cette victoire ce soir en l’absence de Xavi, rentré juste pour les 4 dernières minutes tester si sa blessure était soignée … Belle rentrée puisqu’il signe un but sur un lobe somptueux.

 Voir la video



Source : footespagnol.fr

Manchester City: Une option peu emballante

Pour qui s'attendait à un gros match entre le Porto et Manchester City en 16e de finale aller de la Ligue Europa jeudi soir, la déception a été grande, les deux équipes ayant livré une bien pâle prestation. Et c'est City, pourtant mené à la pause, qui a pris une option sur la qualification en s'imposant 2-1. Pour Porto, il faudra en faire beaucoup plus au retour mercredi prochain pour espérer aller plus loin.


Manchester City a eu ce qu'il voulait ! Avec un plan de jeu réduit à son strict minimum, c'est-à-dire défendre et ne surtout pas s'exposer, le club mancunien revient de son périple portugais avec une victoire presque inespérée (2-1), qui, à mi-parcours de sa confrontation avec le FC Porto, le qualifie. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que les Citizens n'ont pas montré grand-chose dans un stade du Dragon en fusion au coup d'envoi, mais vite éteint, notamment au cours d'une seconde période particulièrement soporifique, qui aura cependant permis aux visiteurs, menés à la pause, d'égaliser avec l'aide du défenseur adverse, Alvaro Pereira, puis de l'emporter sur un exploit individuel de Yaya Touré conclu par Aguero.

les actuels leaders de Premier League ont pris une sérieuse option sur les huitièmes de finale, rejoignant ainsi leurs voisins de United, vainqueurs à Amsterdam deux heures plus tôt (2-0), dans les équipes en ballotage favorable après les matches allers. Pour le FC Porto, auteur d'une prestation appliquée en première période mais qui s'est mystérieusement éteint après le repos, il faudra jouer son va-tout, mais sur ce qu'on a vu ce jeudi soir, on doute des capacités de la formation portugaise de renverser la montagne mancunienne au retour.

Aguero enfonce le clou

 Ou alors, il faudra qu'il s'inspire de ses 45 premières minutes plutôt réussies qui l'ont vue menacer Hart sur une tête de Rolando sauvée devant son gardien par Clichy (16e), ou par son surpuissant attaquant Hulk, qui a réclamé en vain un penalty devant Kompany (26e). Le Brésilien s'est vengé deux minutes plus tard en s'échappant côté gauche sur un service d'un Lucho peu en vue ce jeudi soir avant de centrer au cordeau pour la reprise victorieuse de Varela (28e). Un but plutôt logique dans la mesure où Porto a essayé de produire du jeu face à des Anglais ayant misé sur une tactique prudente et des contres. Qui n'ont guère été nombreux, puisque le portier local, Helton, n'a dû s'employer en première mi-temps que sur un coup franc de Nasri, effleuré de la tête par Balotelli, une frappe de loin de Richards (22e), un tir tendu de Nasri (23e) et un mssile de balotelli (29e).

Après la pause, le gardien de Porto a eu moins de travail, mais il a vu Richards trouver le poteau gauche dans un angle fermé (50e) puis a été chercher le ballon deux fois dans ses filets: la première sur un long ballon à destination de Balotelli, poussé dans ses buts du coude par Alvaro Pereira, à la lutte avec l'attaquant italien (1-1, 55e), la seconde sur un exploit personnel de Yaya Touré, qui a déposé toute la défense adverse d'un coup de rein avant de centrer pour Aguero, tout seul face au but (1-2, 85e). City a cadré quatre fois, a marqué deux buts, de quoi largement suffire au bonheur d'une équipe qui, dans six jours, tentera d'enfoncer le clou, histoire de continuer à briguer ce trophée de consolation qu'est la Ligue Europa.

Référence : A.C. /Sports.fr

FC Barcelone à Leverkusen

Le club catalan aborde le retour de la Ligue des Champions en demi-teinte. La baisse de rendement de ses cadres n'est pas rassurante avant d'affronter Leverkusen dans sa BayArena.



Le champion d'Europe en titre entame la seconde phase de la compétition avec moins de certitudes.

Le syndrome du huitième de finale aller
Sur le plan des statistiques, le FC Barcelone a fréquemment affolé les compteurs grâce à l'efficacité de ses joueurs. En Ligue des Champions, une caractéristique surprend. Depuis la prise de fonction de Pep Guardiola en 2008, les Blaugranas n'ont jamais réussi à gagner leur huitième de finale aller. Même s'ils ont réussi à se qualifier à chaque reprise pour les quarts, ce match à l'extérieur n'a jamais réussi aux catalans.

Santé physique et mentale
Bien plus que cette série, c'est l'état de forme du FC Barcelone qui inquiète. Le club n'a pas été épargné depuis le début de la saison par les blessures de plusieurs maillons essentiels (Iniesta, Villa). Pep Guardiola a dû apprendre à gérer un effectif qui ne supporte plus aussi bien qu'avant la succession des matches. La défaite face à Osasuna (3-2) en Liga en est l'exemple puisque l'entraineur catalan avait décidé de reposer Iniesta, Xavi et Fabregas.

Messi moins génie ?
Baromètre du Barça, Lionel Messi souffre également d'un moins bon rendement en 2012. Auteur de six buts en championnat depuis janvier, l'Argentin est moins décisif pour son équipe. Cette baisse d'efficacité arrive au mauvais moment alors que Guardiola a rappelé à ses joueurs que la Ligue des Champions était la priorité du club.

Le retour des cadres pour le déplacement à Leverkusen permettra d'observer une possible réaction d'orgueil. S'ils en ont les moyens.

Ligue des Champions : Real Madrid – Levante (4-2)

Le Real Madrid n'a pas laissé passer l'occasion. Après la défaite du FC Barcelone, les Madrilènes ont battu Levante (4-2) avec un triplé de Ronaldo et un but de Benzema. Les protégés de José Mourinho comptent 10 points d'avance sur les Catalans et ont fait un grand pas vers le titre de champion.


Ce week-end sonne comme l'un des tournants de la Liga 2011-2012. Le Real Madrid ne pouvait pas laisser passer l'occasion. Elle était trop belle. Vingt quatre heures après la défaite du FC Barcelone à Pampelune (3-2), les Merengue ont enfoncé le clou en venant à bout de Levante (4-2). Les voilà avec dix points d'avance sur le FC Barcelone. Un gouffre. A 15 journées de la fin, tout est encore possible mathématiquement. Mais l'avantage a toutes les chances d'être irréversible. Le Real est désormais sur la voie royale pour s'offrir son 32e titre de champion d'Espagne, le premier depuis 2008. Et un nouveau pour José Mourinho.

 Face à Levante - l'autre formation avec le Barça à s'être offert le scalp du Real cette saison -, l'entraîneur madrilène n'a pas non plus passé une soirée de tout repos après l'ouverture du score de Gustavo Cabral sur un coup de pied arrêté des Granotes (0-1, 5e). "Mou" a attendu 45 minutes pour voir son Real dérouler. Et un penalty obtenu par son équipe, qui a en plus vu Iborra se faire expulser pour un deuxième carton jaune après une main dans la surface. Le début du show Cristiano Ronaldo et de la promenade du Real. Le Portugais a transformé le penalty (1-1, 45e) avant de donner l'avantage aux siens de la tête (2-1, 50e) et d'enfoncer le clou d'une belle frappe (3-1, 57e).

 Avec ce nouveau triplé - son sixième de la saison en Liga -, Ronaldo a fait chavirer Bernabeu. Il a en plus ajouté une passe pour Karim Benzema (4-2, 66e) - auteur d'une partie solide et qui a mis le Real à l'abri après la réduction du score d'Aruna Koné (3-2, 63e). Levante conserve de son côté sa quatrième place mais pourra regretter l'expulsion d'Iborra. Car sa défense avait repoussé jusque-là la vague blanche grâce notamment à un bon Gustuvo Munua, qui a presque écoeuré les Madrilènes avant le penalty. Après, à 10 contre 11, Levante n'a rien pu faire face à Ronaldo et consorts, bien décidés à prendre une option de plus dans cette Liga.


Source : eurosport.fr