FCF Juvisy fait son retour en Women’s Champion League

Ce Samedi, Juvisy a facilement disposé d’Issy sur le score de 9-1 lors de la 2ème journée de D1 féminine. Hier, les footballeuses essonniennes ont obtenu un match nul 1-1 chez les Suissesses du FC Zurich. Le FCF Juvisy peut porter haut les couleurs de l’Essonne dans ces deux compétitions.
L’équipe retenue pour le déplacement à Zurich, avec le nouveau maillot de cette saison

Deuxième match ce samedi à Viry-Châtillon pour les Juvisiennes, qui ont reçu Issy-les-Moulineaux devant environ 300 spectateurs. Un déplacement difficile à aborder pour Issy, le deuxième match de son histoire parmi l’élite en Division 1 féminine. Elles se sont imposées largement sur le score de 9 à 1, dans un match qui a permis de confirmer la bonne performance de la première journée face à Arras. Sous un soleil de plomb, les essonniennes l’ont emporté 6-0, déjà à Viry-Châtillon. Après deux matchs, le FC Juvisy Essonne pointe à la deuxième place du classement derrière les championnes de l’an passée, l’Olympique Lyonnais, dans un match à distance à la différence de buts. La réception de Lyon le 13 octobre sera déjà une rencontre importante dans la course au titre que vont se livrer les deux équipes. Le carrée de tête est complété par Montpellier et le Vendenheim F.C., respectivement 3ème et 4ème, qui possèdent également 8 points au classement.

Départ sans fautes
A la suite de la rencontre contre Issy, on a pu lire sur les réseaux sociaux : « Bravo les filles, Soub tu étais la aujourd’hui bravo » de la part d’une supportrice de Juvisy. Sandrine Soubeyrand a inscrit deux buts ce weekend et réalise, à 39 ans, un bon début de saison après des Jeux Olympiques compliqués avec l’équipe de France. Tout juste recrutée cet été, Camille Catala s’intègre bien à sa nouvelle équipe, et elle marque elle aussi deux buts face à Issy. Les cadres Gaëtane Thiney et Julie Machart, auteure d’un coup du chapeau avec ses trois réalisations, confirment elles aussi la bonne forme actuelle de la « Juv’91 ». De bons débuts en championnat pour cette équipe, avant le commencement de la campagne en Women Champion’s League, un trophée que le F.C. Juvisy Essonne n’a encore jamais remporté. Avec les Lyonnaises tenantes du titre, elles seront les deux clubs représentants la France dans cette compétition.

Les portes de l’Europe
Lyon débute ce mercredi face au PK-35 Vantaa, les championnes de Finlande, alors que Juvisy a concédé le nul 1-1 ce mardi face à Zurich dans les toutes dernières minutes. Les Essonniennes débutent le match sans leur gardienne titulaire Marion Mancion, remplacée par la jeune Tanya de Souza, 18 ans, qui réalise un très bon match dans les buts. Le trio offensif Julie Machart, Jaynice Cayman, l’attaquante elle aussi arrivée cet été, et Camille Catala vont se montrer tour à tour dangereuses en attaque durant la première mi-temps sans réussir à inscrire ce premier but. Gaétane Thiney ouvre le score pour les Essonniennes en début deuxième période suite à un corner mal renvoyé par la défense du FC Zurich, à la 50ème minute de jeu. Les Suissesses vont alors pousser de plus en plus. Le danger de cette équipe championne de Suisse en titre s’appelle Inka Grings, double médaillée de bronze avec la sélection allemande aux J.O. de Sydney en 2000 et d’Athènes en 2004. La vétéran 35 ans égalise de la tête dans les arrêts de jeu, sur sa seule véritable occasion du match.

La suite du calendrier
Un bon résultat à l’extérieur pour les Juvisiennes dans ce 16ème de finale aller. A noter les sorties sur blessure de la défenseuse Sandrine Dussang et de Charlotte Fernandes, entrée pour la remplacer en cours de jeu. Juvisy est passé à très peu de chose d’une première victoire européenne, ce qui aurait permis d’aborder le match retour du 04 Octobre avec plus de sérénité. Ces matches se jouent sur un léger détail tel qu’un ballon mal renvoyé, ou sur un mauvais replacement de la défense comme cela s’est passé ce mardi. La réussite devant le but sera aussi importante si Juvisy parvient à dominer ses adversaires, devant son public au Stade Maquin de Viry-Châtilllon. En championnat ce dimanche, les essonniennes affronteront Rodez qui reste sur deux défaites contre Lyon et Vendenheim, avant de se déplacer en Auvergne à Yzeure, dont c’est la 5ème saison parmi l’élite.

Réf: http://essonneinfo.fr

AC Milan stoppe la série noire

Stephan El Shaarawy a inscrit un doublé salvateur, mercredi

Battu trois fois en cinq matches, l'AC Milan s'est offert un bol d'air : il a enfin gagné à San Siro, mercredi contre Cagliari (2-0). L'Inter s'est imposée chez le Chievo (2-0). Un triplé de Cavani a permis à Naples de dominer la Lazio (3-0).

Un match nul en Coupe d'Europe, une défaite en Serie A le week-end dernier puis, désormais, une victoire : le mimétisme entre les deux clubs milanais se poursuit. Et permet à leur coach respectif de voir s'éloigner l'épée de Damoclès. Incapable de gagner à domicile cette saison, sevré de victoire lors de ses trois sorties précédentes (deux défaites, un nul), l'AC Milan a stoppé cette spirale négative : il a battu Cagliari (2-0), pendant que son voisin, l'Inter, est allé s'imposer sur la pelouse du Chievo Verone, sur le même score, évidemment (2-0). Entre les deux rivaux, une différence toutefois : les Interistes restent au pied du podium (4es à un point de la Sampdoria, qui a fait 1-1 chez l'AS Roma), tandis que les Rossoneri sortent à peine la tête de la zone rouge. Ils doivent ce bol d'air à El Shaawary.

La défense de l'AC Milan enfin hermétique
L’attaquant du Genoa a signé un doublé (15e, 82e), libérant son équipe à moins de dix minutes du coup de sifflet final. Il avait failli y parvenir plus tôt : ses deux tentatives juste avant le repos n'ont pas trouvé le cadre (40e) ou seulement la transversale (42e). Pour la première fois de la saison en Serie A, l'AC Milan n'a pas pris de but. Un signe positif qu'il faudra confirmer. Histoire d'éviter un fonctionnement sur courant alternatif, comme son voisin. Depuis le début du Championnat, l'Inter n'a pas réussi à aligner deux succès consécutifs. Les contre-performances, Naples arrive de son côté à les éviter, ou presque.

Trois jours après son nul à Catane (0-0), le Napoli a retrouvé son rythme de croisière. Dans le choc de la soirée, il a battu la Lazio (3-0), rival pour le podium. L'artisan de ce succès ? Cavani. L'attaquant uruguayen a signé un triplé (19e, 31e, 64e), portant à cinq son total de buts cette saison. Il a tout de même raté un penalty. Naples a aussi profité du fair-play de Klose : l'attaquant romain a demandé à l'arbitre de ne pas valider son but (3e) à cause d'une main, qu'il n'avait pas vue. C'est la deuxième défaite de suite de la Lazio. De son côté, Palerme s'est enfoncé à Pescara (1-0).

Ref : lequipe.fr

FC Barcelone sauvé grâce à Lionel Messi


Quand le Fc barcelone est dans une mauvaise passe, il y a toujours le sauveur Messi à la rescousse. C'est une réalité qui s'est manifestée à plusieurs reprises et encore une fois lors de son difficile match disputé au Camp Nou face au Spartak Moscou...

Alors que le score contrariait les ambitions des Catalans, avec 1 but contre 2 en faveur des joueurs de la capitale Russe. Lionel Messi s'est présenté tel qu'un chevalier qui voulait sauver son royaume et l'Argentin a pu renverser la réussite des russes en enregistrant un doublé historique, et voilà le FC Barcelone qui l'emporte à 3-2!

Le Spartak Moscou a démontré pourtant ses talents et sa résistance face au géant Catalan, en réalisant même de l'avance dans ce match décisif, disputé lors de cette chaude soirée de mercredi au Camp Nou et ce grâce à un plan de jeu défensif bien monté de la part de l'entraineur Espagnol Unai Emery. La récupération de balle et la montée rapide au carré du Barça avaient mis réellement les locaux dans l'embarras.

Au moment où les vétérans du Spartak ont cru à la grande victoire suite aux buts de Dani Alves (29e) et Romulo (58e), le numéro dix des Catalans a pu ouvrir une brèche fatale dans les fortifications Russes en 71e et 80e pour éliminer définitivement les ambitions du Spartak.

Cela ajoutera une grande charge morale pour que le FC Barcelone réussisse son match face à Benfica, le 2 octobre prochain à Lisbonne.


Réf: sportact.net

Ligue 1 : les résultats de la 6ème journée

Le gardien de Toulouse Ahamada a créé l'événemement en égalisant in extremis d'une tête face à Rennes (2-2), samedi lors de la 6e journée de L1 qui a vu la star parisienne Ibrahimovic poursuivre sa moisson de buts (7) mais aussi récolter son premier carton jaune. Dimanche, Lille devra se reprendre face à Lyon après un début de saison raté.

Les rencontres de samedi :
Bastia - PSG  (0-4) : la «bande à Ibra» dynamite Bastia
 Le PSG et sa défense remaniée n'ont pas forcé leur talent pour prendre à défaut une équipe corse apathique. Une fois de plus, Zlatan Ibrahimovic a été étincelant en s'offrant un doublé et une passe décisive pour Jérémy Menez.
 Reims confirme, Nancy s'embourbe : 2 - 0
 Le Stade de Reims, solide et efficace, a battu Nancy (2-0) sans trembler une troisième victoire de rang à domicile qui lui permet de rester invaincu depuis le 18 août. Nancy, volontaire mais fragile, s'est en revanche enfoncé dans la zone de relégation. Courtet, l'un des chouchous du stade Auguste-Delaune, a donné l'avantage à Reims très tôt en reprenant victorieusement de la tête, au premier poteau, un corner frappé par Devaux (7).
 Brest - Valenciennes (2 - 1)
 Brest est parvenu à renverser Valenciennes (2-1) et passe dans la première moitié du classement.
Lorient trouve le nul de justesse face à Nice (1 - 1)
 Lorient a préservé son invincibilité en arrachant le match nul en infériorité numérique dans les derniers instants face à Nice (1-1). Certes, les Merlus sont éjectés du podium à la différence de buts par le PSG, mais ce point pris à dix, après l'exclusion de Bourillon (66e), sur un but de Monnet-Paquet (89e), a presque valeur de victoire. Alain Traoré, leur meilleur buteur, absent sur blessure samedi, ainsi que Baca et Audard, exclus dimanche dernier à Rennes, leur a longtemps fait défaut pour débloquer la situation.
Rennes cale toujours à Toulouse (2 - 2)
 Rennes et son entraîneur Frédéric Antonetti, qui était sur la sellette après un début de saison raté (une victoire et quatre revers), pensaient au même ouf de soulagement. Mais ce fut ouf version verlan, lorsque le gardien de Toulouse Ahamada égalisait de la tête dans le temps additionnel (90e+6) ! Les Bretons restent empêtrés dans la zone de relégation (18e), alors qu'ils avaient pensé faire le plus dur en surmontant l'égalisation de Ben Yedder grâce à une belle volée d'Erding...
Sochaux enfonce Troyes (3 - 1)
 Dans le duel entre les deux derniers, c'est Sochaux qui a enfoncé Troyes (3-1) et respire un peu mieux (13e) avec ce deuxième succès d'affilée. L'Estac en revanche recherche toujours sa première victoire.

Les rencontres de dimanche :
Bordeaux (5e) - Ajaccio (15e) à 14h : Les Girondins sur leur lancée
 Bordeaux, qui reçoit AC Ajaccio, doit maintenant apprendre à régaler autant son public en L1 qu'il le fait en Europa League. Après son match renversant contre l'Etoile Rouge en barrage retour de la C3 (3-2), il vient de pulvériser Bruges (4-0) jeudi soir pour son entrée en poules. Ajaccio, avant-dernier au classement de l'attaque en L1, doit donc se méfier.
Marseille (1er) - Evian/Thonon (16e) à 17h : Qui peut arrêter l'OM ?
 Cinq matches et cinq victoires en L1: l'OM impressionne en ce début de saison. Et ce n'est pas le match de poules d'Europa League dans l'enceinte en fusion de Fenerbahçe jeudi soir, avec une égalisation arrachée dans les dernières secondes (2-2), qui va rassurer ses adversaires. Le nouvel entraîneur d'Evian, Pascal Dupraz avait débuté dans ses nouvelles attributions par une large victoire contre Bastia (3-0). Il faudra désormais trouver un moyen de résister à la «dynamique» marseillaise.
Lille (11e) - Lyon (2e) à 21h : Les«Dogues» n'ont plus le choix
 Les champions de France 2011, décevants en championnats et ridiculisés mercredi en Ligue des champions par les modestes Bélarusses de Bate Borisov (3-1), doivent réagir au plus vite. Lyon n'est pas l'adversaire idéal pour ça. L'OL, qui a rajeuni son équipe après une nouvelle cure d'austérité estivale, réussit pour l'instant un parcours sans faute que ce soit en L1 ou en Europa League, épreuve entamée jeudi soir du bon pied par un succès à la maison contre le Sparta Prague (2-1).

 Source : LeParisien.fr

Bastia - PSG : Van der Wiel, Sakho et Nene titulaires

L'arrière droit néerlandais Gregory van der Wiel, recruté le 3 septembre en provenance de l'Ajax Amsterdam, va faire sa première apparition officielle sous le maillot du PSG

Comme prévu, Carlo Ancelotti a décidé de laisser plusieurs de ses joueurs au repos pour le déplacement à Bastia. En défense, Alex va souffler et permettre à Sakho de débuter pour la première fois avec le Brésilien Thiago Silva. Le Hollandais Van der Wiel disputera son premier match sous les couleurs du PSG sur le côté droit de la défense tandis que Sylvain Armand remplace Maxwell à gauche.
Quatre jours après le brillant succès face au Dynamo Kiev en Ligue des champions (4-1), le trio de récupérateurs Verrati-Chantôme-Matuidi, très performant face aux Ukrainiens, est reconduit. En attaque, Ibrahimovic et Ménez seront associés à Nene qui a été préféré à Pastore, touché à la hanche.

La composition du PSG : Sirigu - Van der Wiel, Thiago Silva, Sakho, Armand - Chantôme, Verratti, Matuidi - Ménez, Ibrahimovic, Nene.

 Source: LeParisien.fr

PSG-Toulouse : confirmation attendue

Après sa victoire à Lille (2-1), le PSG n'a qu'une obsession : confirmer. Vendredi contre Toulouse (20h45), il n'attend rien d'autre que la victoire, ce qui lui permettrait en plus de préparer au mieux son entrée en Ligue des champions.
La perspective est encore loin. Même si les retrouvailles entre le PSG et la Ligue des champions approchent à grands pas, il est encore un peu tôt pour y penser. C'est en substance le message délivré par Carlo Ancelotti à ses joueurs, au moment d'affronter Toulouse, vendredi au Parc des Princes. Chaque chose en son temps, s'est-il évertué à expliquer. Il faut d'abord «confirmer» en Championnat après le beau succès obtenu à Lille (2-1) il y a quinze jours. «Nous sommes totalement focalisés sur le match de Toulouse, a assuré le coach parisien, jeudi en conférence de presse. Même si l'ambiance est particulière parce que tout le monde attend ce retour en C1, nous avons encore le temps pour le préparer. Il faut gagner demain (vendredi), a-t-il ajouté. Ce sera la meilleure préparation possible» avant d'affronter le Dynamo Kiev, mardi.
Accroché tour à tour par Lorient (2-2) et Bordeaux (0-0) en début de saison, le PSG attend toujours sa première victoire à domicile. C'est aussi la raison pour laquelle Ancelotti va aligner «la meilleure équipe». La même qu'à Lille ? «Peut-être», a-t-il répondu dans un sourire, sans entrer néanmoins dans les détails, comme il en a pourtant pris l'habitude les veilles de matches depuis son arrivée à Paris en janvier. «Notre but sera de rééditer la même performance que face au LOSC, a toutefois insisté le technicien, parce que nous avons bien joué, notamment tactiquement. Il sera bon de confirmer, a-t-il répété. Nous en avons besoin pour accumuler de la confiance, surtout à un moment de la saison où tous les matches sont vraiment importants».

Pastore encore milieu offensif gauche ?
Face à une «équipe physique, venue pour bien défendre comme l'a fait Bordeaux» et qui comprend «des joueurs de qualité» à l'image de Moussa Sissoko, sur lequel Ancelotti compte «mettre en place un bon marquage», les partenaires de Christophe Jallet pourront s'inspirer notamment de leur première période réalisée dans la Nord. «On doit avoir plus de vitesse et de mouvement, comme nous l'avons fait contre Lille en première mi-temps», a prévenu Ancelotti. Malgré l'absence des internationaux, le groupe parisien a pu travailler sereinement cette semaine. Javier Pastore par exemple s'est entraîné au poste de milieu offensif gauche et «s'est amélioré», selon les dires de son entraîneur. «Tout le monde est revenu sans problème» physique, a-t-il précisé. A l'exception de Thiago Silva, Van der Wiel et Lavezzi ménagés en vue de la C1, Paris pourra compter sur toutes ses forces vives. Car même s'il dit le contraire, Ancelotti pense quand même déjà à la suite. Sans d'autre choix que celui de gagner.

Ref: lequipe.fr

Ligue 1 : le Parc des Princes attend sa victoire

Avant les joutes européennes mardi, Montpellier et le PSG répéteront leurs gammes ce soir en match avancé de la 5e journée de Ligue 1. Le club de la capitale tentera de décrocher sa première victoire de la saison à domicile face à Toulouse (20 h 45), tandis que Montpellier se déplacera à Reims.

Après deux matches nuls décevants dans son antre du Parc des Princes (2-2 contre Lorient et 0-0 face à Bordeaux), les hommes de Carlo Ancelotti n'ont plus le droit à l'erreur. La victoire est impérative, d'autant que le vice-champion de France est à six longueurs de son ennemi juré, l'OM.

Sans Thiago Silva, ni Lavezzi
Carlo Ancelotti est face à un dilemme. Malgré les récents matches internationaux, le coach italien doit composer une équipe compétitive dès ce soir... sans oublier la réception du Dynamo Kiev mardi en Ligue des champions. Un vrai casse-tête. C'est pourquoi le technicien a décidé d'écarter l'Argentin Lavezzi, disponible mais de retour de sélection. Quant au très attendu Thiago Silva, sa toute première apparition sous les couleurs parisiennes n'est pas pour ce soir, mais bel et bien mardi en Ligue des champions, c'est en tout cas ce qu'a affirmé Carlo Ancelotti. Malgré les difficultés, l'entraîneur parisien pourra compter sur un dernier match prometteur à Lille. Le club parisien s'était imposé 2-1 grâce à un doublé Zlatan Ibrahimovic. Il figure bien dans le groupe de ce soir.

Le Téfécé (4e), qui compte deux nuls et deux victoires en quatre journées est donc invaincu dans ce championnat. L'effectif pourra compter sur ses internationaux rentrés "sans bobo" de leur rassemblement respectif : Braaten (Norvège), M'Bengue (Sénégal), Abdennour (Tunisie), Ninkov (Serbie), Ben Yedder et Rivière (France Espoirs)et surtout son milieu Etienne Capoue, auteur d'un but pour sa première titularisation en équipe de France mardi (3-1, contre la Biélorussie).

Mapou Yanga-Mbiwa écarté
Deuxième choc de la soirée : Reims - Montpellier. Après des débuts difficiles, le club de la capitale héraultaise s'est remis en ordre de marche lors de la dernière journée de championnat en l'emportant à Sochaux. Désormais 13e du championnat, les hommes de René Girard voudront poursuivre leur redressement. En prévision de la réception d'Arsenal, mardi, René Girard a préféré se passer des services d'un titulaire indiscutable du groupe, le capitaine et défenseur Mapou Yanga-Mbiwa qui vient d'enchaîner deux rencontres avec l'équipe de France. Avec trois matches en huit jours (Reims, Arsenal et Saint-Etienne), Montpellier devra se faire rapidement à ce rythme soutenu de rencontres s'il veut bien se classer en Ligue 1. L'équipe de Reims, 14e, à égalité de point avec Montpellier, devra quant à elle se passer de six joueurs forfait : Fortes, Souaré, Ramaré, Fofana, Ayité et Toudic.

Le programme de la 5e journée :
Vendredi : Paris SG - Toulouse ; Reims - Montpellier
Samedi : Troyes - Lille ; Evian-Thonon - Bastia ; Nice - Brest ; Saint-Etienne - Sochaux ; Valenciennes - Bordeaux
Dimanche : Rennes - Lorient ; Lyon - AC Ajaccio ; Nancy - Marseille

Ref: lequipe.fr

Montpellier: Girard fréquente le gotha

Le technicien du MHSC invité par l’UEFA. Les entraîneurs de l’édition 2012/13 étaient réunis à Nyon pour deux jours d’échanges. Il n’est pas vraiment du genre à s’émerveiller de tout et de rien, mais là, René Girard n’a visiblement pas regretté son voyage à Nyon, au siège suisse de l’UEFA.

C’est là, en effet, sur les bords du lac Leman, que l’instance européenne a réuni récemment tous les entraîneurs appelés à disputer la Ligue des champions, dont la première journée est programmée mardi et mercredi prochains.

Convié au titre de représentant du club champion de France, l’entraîneur du MHSC a donc côtoyé pendant quarante-huit heures ce qui se fait de mieux à travers l’Europe. « Il y avait peu d’absents, parmi lesquels Mancini (Manchester City), Ferguson (Manchester United) et Rudy Garcia (Losc), indique Girard. Mais Mourinho, Wenger et les autres étaient bien là. Il s’agissait d’échanges très intéressants où le terrain reste toujours au centre des débats. »

Parmi les thèmes abordés, l’arbitrage, la gestion de la médiatisation et la difficulté d’un staff face à la surcharge du calendrier. Si l’Italien Pierluigi Collina, désormais responsable à l’UEFA, s’est chargé des questions d’arbitrage, les autres thèmes ont donné lieu à des discussions sans retenue. « Ce qui est appréciable dans ce genre de forum, c’est la simplicité et la disponibilité des gens, note René Girard. José Mourinho m’a donné l’accolade comme si nous étions amis de trente ans et Arsène Wenger s’est montré particulièrement agréable. » Et l’entraîneur montpelliérain de poursuivre : « On se rend compte de la difficulté à gérer un groupe. Faut-il annoncer l’équipe vingt-quatre heures avant le match, au risque que les agents la donnent à la presse ? Comment gérer un staff, surtout lorsque celui-ci est constitué de 25 personnes ? Un gars comme Vilanova à Barcelone admettait avoir plus de difficultés à gérer son staff que ses joueurs... »

Parmi les anecdotes les plus croustillantes vécues par le technicien gardois du MHSC, la rencontre avec son homologue du FC Porto et cette phrase lâchée par Vitor Pereira : « Bravo pour ce que vous avez fait en France. Super-braquage au nez et à la barbe du PSG ! »

Quant à Arsène Wenger, l’entraîneur d’Arsenal, premier visiteur européen à La Mosson, il s’est montré, selon Girard, « d’une extrême gentillesse. Il était très en forme et disponible. C’est vraiment un plaisir de l’accueillir prochainement à Montpellier. »

Réf : midilibre.fr

PSG - Thiago Silva, recrue fantôme

Près de deux mois après l’officialisation de son transfert au PSG, Thiago Silva n’a toujours pas disputé le moindre match sous ses nouvelles couleurs. Et l’attente pourrait encore durer…

Que se passe-t-il avec Thiago Silva ? Recrue la plus chère de l’histoire de la Ligue 1 (42 millions + 7 millions de bonus), le défenseur brésilien du PSG se fait toujours attendre. Voilà déjà plus de deux mois que l’ancien Milanais s’est engagé en faveur du club de la capitale. Et pour l’heure, pas la moindre minute de temps de jeu à son compteur. Aucune convocation même dans le groupe parisien. La faute à une participation aux Jeux olympiques de Londres avec l’équipe du Brésil mais surtout à une blessure plus enquiquinante que prévue. Privé de vacances et de repos, utilisé à outrance (7 matches en moins de trois semaines cet été), son corps a logiquement lâché le 15 août dernier avec la Seleçao avec une élongation à la cuisse droite. Une blessure bénigne qui tarde à se résorber. Aujourd’hui, Silva n’est toujours pas sur pied. Un temps espéré contre Bordeaux, il a dû se contenter d’une présentation en grande pompe devant un Parc des Princes comble. Attendu contre Lille dans le Grand Stade, il a finalement renoncé. Tout comme pour les deux matches amicaux du Brésil contre l’Afrique du Sud (1-0 le 7 septembre) et la Chine (8-0 lundi).

Un drôle de voyage à Milan
«Comme tous les joueurs qui sortent d’une longue compétition, Thiago a subi une forme de décompression. Ensuite, cette compétition s’est terminée sur un échec difficile à évacuer. Enfin, il découvrait Paris, un nouvel environnement. Quand on ajoute ces trois facteurs, on comprend qu’il était en état de fragilité», a indiqué un membre du PSG dans Le Parisien. Une fragilité, physique mais surtout mentale, que le Brésilien a tenté de soigner la semaine dernière à Milanello, le centre d’entraînement du Milan AC, son ancien club. Un choix étonnant quand on sait que Paris a la possibilité d’envoyer ses joueurs blessés au sein du centre de rééducation Aspire au Qatar. Silva y a passé en tout et pour tout 4 jours pour effectuer des séances de physiothérapie avec Marcelo Costa, recruté cet été par le club milanais. «Un des symboles de ce PSG millionnaire qui vient se faire soigner dans l’un des clubs les plus tourmentés de notre championnat, c’est quand même spécial», n’a pas manqué d’ironiser la Gazzetta dello Sport.

Dans le groupe fin septembre ?
Une question est désormais sur toutes les lèvres : quand Thiago Silva, annoncé comme le meilleur défenseur du monde, fera-t-il ses grands débuts avec le PSG ? Sauf miracle, ce ne sera pas vendredi face à Toulouse au Parc des Princes. Ni même pour la réception du Dynamo Kiev mardi prochain à l’occasion du premier match de la phase de groupes de Ligue des Champions. Toujours en soins ces derniers jours, l’international brésilien doit passer dans les prochaines heures des examens pour suivre l’évolution de sa blessure. Sera-t-il prêt pour le déplacement de Paris à Bastia le 22 septembre prochain ? Rien n’est moins sûr. Prudent et bien décidé à ne pas brûler les étapes, le club de la capitale ne prendra pas le moindre risque avec l’une de ses recrues phares. Les supporters parisiens vont devoir, encore, prendre leur mal en patience…


Ref : sport24.com

Nasser Al-Khelaïfi - membre du syndicat des clubs

Le président du PSG a été élu au Comité exécutif  du syndicat des clubs professionnels (UCPF) mais a renoncé à se présenter au Conseil d’Administration de la Ligue (LFP). Jean-Pierre Louvel a été réélu à la présidence de l’UCPF.

Réunis mercredi matin dans un hôtel parisien à l’occasion de l’Assemblée Générale électives de l’UCPF, les présidents des clubs professionnels ont pris leur temps pour élire leurs représentants au sein des instances. En fonction depuis 2008, Jean-Pierre Louvel, le président du Havre, a été réélu pour la troisième fois à la tête de l’UCPF sur la base d’un programme axé sur trois idées-forces :   redresser l’image du football français, développer l’économie des stades et réfléchir à un mode de fonctionnement de la Ligue Professionnel (LFP) impliquant davantage les présidents des clubs.

Composé de 14 membres, le Comité exécutif de l’UCPF intègre en son sein Nasser al-Khelaïfi. Le président du PSG y siégera entre autres aux côtés de Jean-Michel Aulas (Lyon), Michel Seydoux (Lille), Vincent Labrune (Marseille), Bernard Caïazzo (Saint-Etienne) ou Jean-Louis Triaud (Bordeaux). Une entrée remarquée au sein des instances du football français mais incomplète puisque le président parisien a finalement renoncé à porter sa candidature à l’élection du Conseil d’Administration de la LFP, le 12 octobre prochain. «Il y a eu des choix douloureux à effectuer. Je remercie Nasser Al-Khelaïfi de la responsabilité qu'il a prise. Nous voulions qu'un maximum de présidents puissent apporter leurs compétences dans les  instances», a indiqué Jean-Pierre Louvel afin d’expliquer la position du président qatarien du PSG qui avait pourtant fait savoir qu’il souhaitait intégrer les instances.

Une manière pudique de ne pas évoquer les discussions animées en interne qui ont précédé la désignation de la liste des huit représentants de clubs de L1 candidats à l'élection au CA de la Ligue. Ainsi, outre le fait qu’il lui permet de ne pas froisser l’égo de présidents de L1 désireux de siéger à la Ligue, le désistement de Nasser Al-Khelaïfi lui évite de prêter le flanc à la polémique. Egalement président de beInSport, l'un des diffuseurs de la Ligue 1, l’homme fort du PSG pourrait en effet être accusé de conflit d’intérêts en siégeant au coeur de l’instance en charge de piloter les appels d’offres sur la commercialisation des droits télévisuels du championnat de France.

Interrogé sur la question, Nasser Al-Khelaïfi a esquivé avec brio : «Je voulais qu'il y ait le maximum de présidents représentés. Je suis le dernier président arrivé et peut-être le plus jeune. Je pense que j'ai pris la bonne décision. Certains méritaient plus que moi d'y aller. C'est un honneur de siéger à l’UCPF. J'espère pouvoir aider à développer le championnat de France. C'est notre objectif à tous.»  Une réponse politique et une preuve de sa compréhension éclair des us et coutumes de la grande famille du football français.

Enfin, Jean-Pierre Louvel et Jean-Michel Aulas, en qualité de vice-président de l’UCPF, ont  rencontré mercredi après-midi la ministre des sports Valérie Fourneyron afin de parler des futures taxations jugées excessives par les clubs professionnels.

Ref : sport24.com

Le Barça lance l’opération blindage XXL


Il n'y a pas que le Real Madrid qui souhaite prolonger ses stars. Le Barça a lui aussi entrepris de passer à la caisse.

Les grands d’Espagne sortent leur chéquier pour leurs stars. Si le Real Madrid entend mettre fin à la bouderie de Cristiano Ronaldo en offrant au Portugais un salaire qui pourrait dépasser la barre des 15 M€ annuels selon certaines rumeurs, le Barça n’est pas en reste. Malgré la perte du titre domestique la saison passée, le club catalan compte sur un effectif qui l’a fait maître d’Espagne et d’Europe durant trois ans. Pour preuve, les dirigeants blaugrana ont amorcé les premières discussions en vue d’une opération prolongations de grande envergure.

« Mégablindage », le titre du quotidien pro Barça Mundo Deportivo illustre d’ailleurs parfaitement les desseins du champion d’Europe 2009 et 2011. Car ce ne sont pas moins de cinq joueurs qui sont visés par cette opération. A commencer par l’inévitable Lionel Messi. L’atout offensif nº 1 du Barça a signé sa dernière prolongation en 2009 (jusqu’en 2016). S’il reste encore quatre années de contrat à l’Argentin, pas mal d’événements ont changé la donne depuis trois saisons.

Messi enchaîne tout d’abord les records. Devenu le meilleur buteur de l’histoire du Barça, l’international albiceleste a également décroché trois FIFA Ballons d’Or consécutifs. Des performances qui méritent récompense. À cela s’ajoute l’augmentation de l’IRPF, un impôt sur le revenu en Espagne qui, en Catalogne, peut taxer jusqu’à 56% les salaires des joueurs d’élite. Dans ce monde où l’argent est roi, les 10,5 M€ annuels de Messi ne semblent donc plus suffisants. Et comme nous vous évoquions récemment, le Barça envisage de proposer à son nº 10 un contrat de très longue durée, voire à vie.

Autre pilier de l’équipe de Tito Vilanova, Carles Puyol est lui aussi un dossier prioritaire. Lié à son club de toujours jusqu’en juin prochain, l’emblématique capitaine catalan âgé de 34 ans n’est certes pas épargné par les blessures, mais son envie de jouer reste intacte. Si le Barça prépare sa succession, Puyol pourrait tout de même se voir proposer deux ans de plus. Autre produit du centre de formation barcelonais, Victor Valdès devrait lui aussi rencontrer prochainement ses dirigeants. Considéré comme le maillon faible de son club, encore plus depuis la terrible gaffe réalisée contre le Real Madrid lors de la finale aller de la Supercoupe d’Espagne, et cantonné à un rôle de nº 3 en sélection nationale, le portier blaugrana a la confiance de son club. Un club qui entend prolonger un contrat courant jusqu’en 2014 en signe de reconnaissance des cinq trophées Zamora (meilleur gardien de Liga) décrochés par le joueur.

Enfin, les jeunes pousses en devenir ne sont pas oubliées. Libre de tout contrat en juin prochain, Cristian Tello se verra offrir un bail dont les modalités seront calquées sur le contrat proposé à Isaac Cuenca. À savoir deux ans supplémentaires assortis de bonus liés au nombre d’apparitions et au rendement. Pour Gerard Deulofeu, en revanche, il y a moins urgence. Avec un bail courant jusqu’en 2014, le jeune Catalan sera prolongé, mais le but est uniquement d’augmenter une clause libératoire de 10 M€ jugée trop accessible pour les grands d’Europe. À vos chéquiers messieurs les dirigeants.

Réf : footmercato.net

Barça - Le maillot extérieur 2013-2014 déjà dévoilé ?

Villa et Messi connaissent déjà leur futur maillot extérieur

Le journal espagnol Sport a dévoilé en exclusivité à quoi ressemblera le futur maillot extérieur du FC Barcelone pour la saison 2013-2014.


Vous venez à peine de vous habituer aux nouvelles tenues de la saison 2012-2013 ? Et bien, vous pouvez déjà commencer à vous préparer à celles de la prochaine saison. Du moins pour les supporters du FC Barcelone. Le journal espagnol Sport  a dévoilé aujourd’hui ce qui sera le maillot extérieur du Barça pour l’exercice 2013-2014. Pourquoi si tôt ? Tout simplement parce que ce maillot revêt une dimension particulière pour les Blaugrana.

En effet, le maillot arbore les couleurs de La Senyera, le drapeau catalan. Comme vous pouvez le voir, la tunique pourrait donc se présenter avec des bandes verticales rouges et jaunes. Les couleurs catalanes affichées fièrement sur la totalité du maillot, voilà quelque chose d’inédit dans l’histoire du club. Cela ravira une grande partie des supporters barcelonais, très attachés à leur région.

FC Barcelone - Messi : Problèmes d’adducteurs ?


Moins impliqué en ce début de saison que d’habitude dans le jeu du Barça, le triple Ballon d’Or souffrirait d’une manière récurrente aux adducteurs.

Il est notable en ce début de saison que Lionel Messi n’a pas encore atteint son rendement habituel. Même s’il a déjà marqué à plusieurs reprises, sa participation au jeu est encore en deçà de ses possibilités et la cause ne serait pas son état de forme, mais une blessure tenace.

Selon une information publiée par Marca, bien que Lionel Messi ait joué l’intégralité des matchs officiels de la nouvelle saison qui vient de débuter, l’Argentin souffrirait. En effet, il semblerait que le joueur ressente des douleurs aux adducteurs et, malgré le traitement, la douleur ne passerait pas.

Lors de la rencontre de dimanche dernier contre Valence, il était pour le moins évident que le joueur souffrait de sa blessure.

Convoqué en sélection nationale, Lionel Messi est parti en Argentine, mais non sans être passé chez son physiothérapeute pour y suivre son traitement. D’ailleurs, même en Argentine, son traitement se poursuit
 Ce n'est pas la première fois qu’il souffre de ce problème, il avait eu la même chose l’année dernière alors qu’il devait également se rendre en camp avec son équipe nationale. Il en était revenu en nettement meilleure forme. Par contre, il devra disputer deux matches officiels cette fois, ce qui pourrait constituer un risque d’aggravation de sa blessure.

ref: elbarca

Van Persie, sauve Manchester United

Robin van Persie a raté un penalty, mais quand même signé un triplé victorieux pour MU, dimanche à Southampton. (Reuters)

Un triplé de Robin van Persie, en toute fin de match, a évité à Manchester United sa deuxième défaite de la saison, dimanche, à Southampton (3-2). MU revient à trois longueurs du leader Chelsea.

Robin van Persie a déjà tout compris. Deux buts en à peine quatre minutes, en comptant le temps additionnel, dimanche à Southampton (2-3) : l'attaquant néerlandais a assimilé à la perfection le "Fergie Time", moins de trois semaines après son arrivée à Manchester United. En l'absence de Rooney, voilà "RVP" dans les habits du nouveau sauveur des Red Devils. Un costume qui semblait encore un peu trop grand, à vingt minutes de la fin de la partie : Van Persie n'a pas transformé un penalty obtenu par ses propres soins, en ratant totalement sa Panenka (69e). Le score était alors de 2-1 pour Southampton. Le promu avait aussi mené 1-0 (16e), mais sept minutes seulement, jusqu'à la première égalisation de "RVP" (23e).

Malgré Ferdinand, une défense toujours fébrile
Comme face à Man.City (défaite 3-2, 1re j.), les Saints ont joué sans complexe face à un autre cador de Premier League. Ils ont cependant manqué de vigilance sur deux corners de fin de match. Le premier, repris de la tête par Ferdinand - de retour comme titulaire -, a heurté le poteau mais Van Persie avait parfaitement suivi (2-2, 88e). Sur l'ultime corner, le Néerlandais, totalement oublié au marquage, a coupé la trajectoire d'un coup de tête décroisé (2-3, 90e+2). Il pouvait exulter. Son orgueil l'a poussé à l'excès de confiance, puis à l'envie de se faire pardonner.
"RVP" a ainsi comblé les difficultés de la défense mancunienne, malgré son remaniement (Ferdinand dans l'axe, Lindegaard dans le but). Evra, notamment, a glissé devant Schneiderlin, auteur du deuxième but des Saints (2-1, 55e). Il a aussi été enrhumé par Puncheon, mis en échec par Lindegaard (58e). United a frôlé le coup de froid ; il se remet finalement au chaud, à trois longueurs du leader Chelsea.

Ref:lequipe.fr

PSG : Armand rêve de la Ligue des Champions

   
Pas vraiment dans les plans de Carlo Ancelotti, celui qui est le doyen de l'effectif parisien avec huit ans de présence est revenu sur le début de saison de son club. Sylvain Armand s'est également expliqué sur la nouvelle ère dans laquelle entre le Paris Saint-Germain.

Depuis son arrivée, Sylvain Armand a connu bien des mésaventures avec le PSG. Si l'ancien Nantais était de la dernière participation du club à la Ligue des Champions, il a avant tout connu des saisons galères, jusqu'au redressement du club entamé depuis deux ans.

La victoire à Lille comme le début d'une belle aventure ?
Investissements qataris obligent, c'est dans une toute autre dimension qu'entre désormais le PSG. Des ambitions revues à la hausse qui tranchent avec un début de saison décevant du club de la capitale. Interrogé par le site internet Psg.fr, le latéral parisien avoue que l'équipe aurait dû faire beaucoup mieux, mais reste confiant pour la suite : "C’est un début de saison mitigé, parce qu’on aurait pu faire plus avec ce calendrier largement à notre portée. On aurait pu prendre plus de points sur ces quatre premiers matches. On a cependant progressé, puisqu’à Lille on a montré un niveau supérieur. J’espère que cela marque le début d’une belle aventure avec cette équipe."

Une progression qui devra néanmoins être confirmée à domicile vendredi face à une équipe de Toulouse qui viendra à l'instar de beaucoup d'autres uniquement pour défendre. Déséquilibrés contre Lorient, stériles face à Bordeaux, les Parisiens devront trouver le moyen de forcer le verrou d'Alain Casanova, une tâche loin d'être évidente comme le rappelle Sylvain Armand : "Ce sera un match difficile, car Toulouse est une équipe athlétique, qui possède de très bons joueurs. J’ai suivi leur début de saison et j’ai vu une équipe solide. Toulouse est en confiance. A nous de nous concentrer sur notre jeu et de confirmer la victoire obtenue à Lille. Ce ne sera pas facile, mais ce match est à notre portée."

"Mon objectif : être champion avec le PSG"
Reste que, malgré des résultats encore mitigés, ce PSG new look est bien dans sa peau, et se doute bien que le meilleur est forcément à venir, tant l'effectif regorge de qualités. Armand, qui a vécu l'une des périodes les plus sombres du club, savoure forcément, quitte à mettre de côté ses états d'âme : "Cette période est très positive. C’est exceptionnel de pouvoir évoluer dans une équipe comme celle que nous avons depuis la saison dernière. Les investissements qui ont été réalisés et la manière dont est géré le club, pour tout joueur c’est exceptionnel à vivre. Il y a forcément une déception de moins jouer pour ma part, mais dans tous les clubs il existe cette concurrence. Je me bats aujourd’hui pour jouer le plus possible. Je suis très content de pouvoir vivre cela et je ne perds pas de vue mon objectif d’être champion avec le Paris Saint-Germain."

Déjà champion avec le FC Nantes et la génération dorée des Carrière, Vahirua, Monterrubio et autres Landreau, le doyen de l'effectif parisien garde en revanche un souvenir mitigé de ses expériences en Coupe d'Europe où il est à chaque fois arrivé avec des équipes en fin de cycle. L'ambition du PSG toujours plus grande, Sylvain Armand est désormais pressé de retrouver la plus grande des compétitions européennes : "J’ai évidemment hâte de retrouver cette compétition, comme beaucoup ici ont hâte de la découvrir. La Champions League reste la plus grande compétition qui puisse exister. Quand on entre sur le terrain et qu’on entend cet hymne… C’est extraordinaire ! Évoluer contre de grandes équipes et dans de grands stades, ce sera une découverte pour beaucoup d’entre nous. C’est un plus dans la construction de ce projet de renouveau du Paris Saint-Germain, en espérant aller le plus loin possible dans cette compétition."

Reste à voir si l'ancien Nantais saura réellement se faire une place dans cet effectif parisien plus que complet. Pas certain en effet que Carlo Ancelotti ne compte sur lui pour aller conquérir la coupe aux grandes oreilles.
ref: chronofoot

Deschamps: après le succès des Bleus en Finlande (0-1) "Il faut savourer"

Le sélectionneur des Bleus ne débordait pas d'enthousiasme vendredi soir après le succès des Bleus en Finlande (0-1), pour leur entrée dans les qualifications au Mondial 2014. Mais Didier Deschamps était bien conscient de l'importance de ces trois points et des progrès que ses joueurs doivent encore réaliser.

Comment jugez-vous ce succès en Finlande ?
C’est toujours bien de s’imposer à l’extérieur face à une équipe qui nous a un peu plus attendus que ce à quoi je m’attendais, avec un milieu relativement renforcé. On a eu une bonne maîtrise, prendre l’avantage c’est toujours bien. On n’a pas été inquiété en première période, un peu plus en 2e même si on a deux occases, bien sorties par leur gardien. A la fin, avec leur attaquant de grande taille, Pukki, ils nous ont un peu inquiétés mais le résultat est là et c’est ce qui compte. Il y a des satisfactions collectives sauf à la fin où on a eu du mal à garder le ballon. Ce sont des points positifs parce que c’est une équipe jeune, vous le savez, les automatismes ne se font pas du jour au lendemain.

Etes-vous totalement rassuré par Diaby ?
Je n’avais pas besoin d’être rassuré, je l’ai vu à Arsenal, il a évidemment beaucoup de qualités on l’a vu ce soir. C’est un milieu très complet, il est à la récupération, à l’impact, il peut franchir une ligne et même se transformer en buteur. Je préfère bien sûr l’avoir à disposition.

De quoi passer une bonne soirée...
Il faut savourer. C’est dur de gagner des matches comme ça, tous ceux dans notre cas n’ont pas gagné. Leur 96e place mondiale, ça ne signifie pas forcément grand-chose, il y avait du répondant en face. On est content, il faut apprécier cette victoire à sa juste valeur. Tout simplement.

Comment avez-vous trouvé la charnière, Yanga-Mbiwa-Sakho ?
Les deux ont été bons dans un contexte difficile, ils n’ont pas une expérience très importante au plus haut niveau mais ils sont là. J’avais confiance en eux, ça me paraissait logique que les deux débutent. Ce qu’ils ont vécu aujourd’hui devrait leur permettre de grandir.

Un mot sur l'animation offensive ?
C’est le chantier le plus difficile. On a fait de bonnes choses, de bons enchaînements mais je regrette toujours, quand on est en position de centres, et je vais leur répéter encore et encore, il faut plus de présence dans la surface. C’est une question de rythme aussi mais on doit être capable de faire mieux.

Réf : .sports.fr

Montpellier est fixé sur ses adversaires

Le tirage au sort effectué lui propose les Grecs de l’Olympiakos Le Pirée, les Serbes de l’Étoile rouge de Belgrade et les Croates de Dubrovnik


Qualifié pour la Ligue des champions grâce à son titre,
le premier de l’histoire du club, décroché en finale face à Marseille, Montpellier connaît ses adversaires pour la phase de groupe. Le tirage au sort effectué lui propose les Grecs de l’Olympiakos Le Pirée, les Serbes de l’Étoile rouge de Belgrade et les Croates de Dubrovnik.

 Le dernier adversaire sera issu d’un tournoi de qualification qui réunira Marseille, les Danois de Slagelse, les Suisses de Kreuzlingen et les Suédois de Jarfalla. C’est le 6 octobre, dans leur piscine olympique, que les Montpelliérains débuteront cette compétition face à l’Olympiakos.

 Les quatre premiers de cette phase de groupe seront qualifiés pour les huitièmes de finale. Montpellier water-polo est le troisième club héraultais à avoir conquis le titre de champion de France la saison dernière après les handballeurs et les footballeurs. Il est le quatrième club de la préfecture héraultaise à disputer la Ligue des champions puisque les rugbymen participeront à la H-cup qui est son équivalent.

Réf: midilibre.fr/

Qui sont les adversaires du PSG ?

Le club parisien a bénéficié d'un heureux tirage pour son retour en Ligue des Champions. Le FC Porto, le Dynamo Kiev et le Dinamo Zagreb sont des adversaires à portée.

A une boule près, le Paris Saint-Germain aurait pu se retrouver dans le groupe de la mort du Real Madrid, de Manchester City et du Borussia Dortmund. Le sort a frappé l'Ajax d'Amsterdam. Le PSG, lui, a bénéficié jeudi d'un tirage favorable. Et toute absence en huitièmes de finale de la Ligue des Champions 2012-2012 sera vécue comme un échec.

"Les autres équipes de notre poule sont habituées à jouer la Ligue des champions. Zagreb, Kiev, y jouent souvent et Porto l'a même gagnée il n'y a pas si longtemps", commente le directeur sportif du PSG Leonardo. Les Portugais l'ont effectivement remporté en 2004, tandis que les Parisiens l'ont joué pour la dernière fois la saison suivante.

Un 100 m plutôt qu'un marathon
Si l'on se fie à l'expérience, le FC Porto apparaît comme le favori de ce groupe A. Du côté des effectifs, le Paris Saint-Germain n'est pas en reste avec les stars recrutées depuis l'arrivée du Qatar : Javier Pastore, Thiago Motta, Thiago Silva, Ezequiel Lavezzi, Marco Verratti et Zlatan Ibrahimovitch. Mais, selon Leonardo, il reste à "mettre tout ça en symphonie".

Les adversaires européens des Parisiens espèrent que la mise en musique attendra, à l'instar du mauvais début de saison du club parisien en Ligue 1: trois nuls, respectivement contre Lorient, Ajaccio et Bordeaux. Porto, Kiev et Zagreb peuvent aussi compter sur leur expérience européenne. Leonardo: "Ce n'est pas comme le championnat, qui est un marathon, (...) c'est comme un 100 mètres, tu dois être prêt."

Les adversaires des Parisiens
Qui est le FC Porto? 26 fois champion national, le meilleur club portugais de la dernière décennie a remporté la Ligue des Champions en 1987 et 2004 et la Ligue Europa en 2003 et 2011. C'est une équipe d'expérience, rompue aux compétitions européennes, avec un attaquant puissant: Hulk, élu meilleur joueur du championnat portugais en 2011 en 2012.

Qui est le Dynamo Kiev? 26 fois champion national, le club de la capitale ne compte plus l'ancien Ballon d'Or Andrei Shevshenko dans son effectif depuis sa retraite après l'Euro 2012. Le Dynamo a acheté pour 8 millions d'euros Miguel Veloso au Genoa cet été. Le Portugais a été décisif lors des tours préliminaires contre Feyernoord puis Mönchengladbach. Un joueur à surveiller.

Qui est le Dinamo Zagreb? 18 fois champion national, dans les 7 dernières saisons, c'est le club le plus faible du groupe A. Pas de stars dans cette équipe et un très mauvais souvenir à effacer: la saison précédente, les Croates sont devenus l'équipe qui a encaissé le plus de buts dans l'histoire de la Ligue des Champions, battu 1-7 à domicile par l'Olympique Lyonnais.

Calendrier
PSG - Dynamo Kiev (mardi 18 septembre)
FC Porto - PSG (Mercredi 3 octobre)
Dinamo Zagreb - PSG (mercredi 24 octobre)
PSG - Dinamo Zagreb (mardi 6 novembre)
Dynamo Kiev - PSG (Mercredi 21 novembre)
PSG - FC Porto (mardi 4 décembre)

Réf: lexpress.fr