FC Barcelone : Ibrahimovic n'aime pas Messi et Guardiola

Zlatan Ibrahimovic n'a pas voulu mettre le feu aux poudres avant le quart de finale aller de la Ligue des champions entre l'AC Milan et le FC Barcelone mercredi. L'attaquant suédois n'a pas été aussi sobre par le passé quand il a critiqué à maintes reprises son ancien entraîneur, Josep Guardiola.

Thierry Henry a été un grand buteur mais il est surtout un grand chambrer. Avec Zlatan Ibrahimovic lors de leur saison commune au FC Barcelone en 2009-2010, les deux compères avaient un petit jeu à la fin de leurs entraînements quotidiens. Le meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de France demandait au Suédois s'il avait croisé le regard de son entraîneur de l'époque, Pep Guardiola. La réponse était souvent négative et des éclats de rire se faisaient entendre. La saison catalane d'« Ibra » n'a pas été mauvaise sur le plan statistique (16 buts en 29 matches) mais il n'a jamais réussi à s'intégrer au sein du vestiaire. Le buteur scandinave a ajouté à son palmarès en à peine un an une Liga, un Mondial des Clubs, une Supercoupe d'Europe et deux Supercoupe d'Espagne.

Serrera-t-il la main de Guardiola ?

Il a malgré tout été l'une des plus mauvaises opérations financières de l'histoire du Barça qui l'a acheté 75 millions d'euros (Samuel Eto'o inclu) à l'Inter Milan puis revendu seulement 24 millions d'euros à l'AC Milan à l'issue d'un prêt d'un an. Le joueur n'a pas digéré son éviction sans explication de la part de Guardiola . Comme il l'a déclaré mardi lors de la conférence de presse de veille de match du quart de finale aller de la Ligue des champions entre les Rossoneri et le Barça, il considère son ancienne équipe comme la meilleure au monde. En revanche, il ne sait pas s'il va serrer la main de Guardiola avant la rencontre.
FC Barcelone : Ibrahimovic n'aime pas Messi et Guardiola

Zlatan Ibrahimovic n'a pas voulu mettre le feu aux poudres avant le quart de finale aller de la Ligue des champions entre l'AC Milan et le FC Barcelone mercredi. L'attaquant suédois n'a pas été aussi sobre par le passé quand il a critiqué à maintes reprises son ancien entraîneur, Josep Guardiola.

Retours sur ses sorties mémorables sur sa période barcelonaise :
- « Ce lâche n'osait pas croiser mon regard et pas même dire bonjour. Il me faisait une guerre psychologique. Ce type n'arrive pas à gérer les fortes personnalités. Ce n'est pas un hasard si Guardiola a eu des problèmes avec des types comme Ronaldinho, Deco, Eto'o, Henry et moi. »
Extrait de son autobiographie, intitulée sobrement « Moi, Ibra !»

- « Tu n’as pas de couilles, tu te chies dessus devant Mourinho, va te faire enc… ! »
Une attaque mythique envers Guardiola lors d'un match de Liga

- « Son problème, c'est qu'il veut toujours être parfait. Mais Tiger Woods aussi voulait être parfait. »
Dans les colonnes d'El Pais, Ibrahimovic livre son sentiment sur la personnalité de Guardiola.

- « Quand Messi a commencé à l'ouvrir et a demandé à avoir un autre rôle sur le terrain, Guardiola l'a suivi. Il a préféré se contenter de Messi sans même daigner me regarder. Je lui ai dit que j'étais une Ferrari et qu'il me conduisait comme une Fiat. À partir de là, il ne m'a plus calculé. »
Une confession parue dans le quotidien suédois Aftonbladet.

- « Le Barça était un peu comme un collège. Messi, Inesta, Xavi et toute la bande semblaient si scolaires. Les meilleurs joueurs du monde étaient là à obéir, et moi je n'y comprenais rien. C'était ridicule ! »
Autre extrait de son autobiographie

- « Si après avoir payé 75 millions d'euros pour lui, Guardiola ne le fait plus jouer au bout d'un an, c'est qu'il a besoin d'aller dans un hôpital psychiatrique. »
Les déclarations polémiques de son agent Mino Raiola peu avant l'officialisation du prêt d'une saison d'« Ibra » à l'AC Milan

source: francesoir.fr

Ligue des champions : "dur mais logique" pour Deschamps

L'état de grâce de l'Olympique de Marseille en Ligue des champions a pris fin mercredi contre un Bayern de Munich efficace, et tranquille vainqueur au Vélodrome du quart de finale aller (2-0, buts de Gomez et Robben). Une défaite aux allures de retour sur terre pour des Phocéens en perdition en championnat, et qui voyaient la compétition européenne comme un bol d'air.

Et c'est sans surprise, mais non sans amertume, que l'entraineur marseillais a reconnu la supériorité allemande. "C'est dur par rapport à la première période où on a fait des choses plutôt pas mal. Le but avant la mi-temps nous fait très mal", a déclaré Deschamps, visiblement marqué. "Après, il y a une logique supériorité du Bayern qu'on a vu en seconde période. Il y a aussi l'efficacité d'un adversaire de valeur, on l'a appris à nos dépens", a-t-il ajouté.

La satisfaction était en revanche de mise côté Bayern après un succès qui ouvre les portes de la demi-finale au club allemand. "Nous avons atteint notre objectif en gagnant à Marseille sans prendre de but", a déclaré l'entraîneur Jupp Heynckes. "Le seul point noir c'est les cinq cartons jaunes récoltés, notamment celui de Bastian Schweinsteiger qui revient de blessure et qui aurait eu besoin de temps de jeu." Le milieu de terrain du Bayern sera suspendu pour le match retour. "Il y a un match retour à jouer et je ne veux pas parler de demi-finale avant de l'avoir joué. Je n'ai pas vraiment de doute sur la qualification mais j'ai du respect pour notre adversaire", a encore souligné Heynckes.

"UNE SAISON COMPLIQUÉE"
La défaite du club français a été précipitée par une faute de main d'Elinton Andrade, le troisième gardien de l'OM, sur le premier but bavarois. "Je n'ai rien à lui reprocher", a simplement souligné Deschamps. En concédant cette défaite sur sa pelouse, l'OM a quasiment perdu toutes chances de se qualifier pour le tour suivant de l'épreuve. "On a encore une chance infime, on n'est bien évidemment pas dans la meilleure des situations face au Bayern qui est très performant lorsqu'il joue à domicile", a dit Deschamps. Le club marseillais reste sur une série de neuf matches sans victoire, dont huit défaites, toutes compétitions confondues. "Il n'y a pas à sombrer dans un fatalisme exacerbé. Il reste des choses à jouer et des matches à gagner", a soutenu Deschamps.

"C'est une saison compliquée depuis le début. Il y a des saisons comme ça, il y a des hauts et des bas. Mais le problème, ce n'est pas ce soir", a reconnu le président de l'Olympique de Marseille, Vincent Labrune. "L'OM est une institution. Personne ne la mettra à terre, ni les journalistes, ni ceux qui parlent, ni les anciens présidents", a encore déclaré M. Labrune, en réponse à l'ancien président Bernard Tapie, qui dans un entretien au journal L'Equipe avait déclaré mardi qu'"il faut arrêter de mettre (à l'OM) des présidents fantoches".

Pour M. Labrune, "il faut s'accrocher à l'amour du club et du maillot, à la fierté. Le championnat, c'est toujours notre priorité. Les droits télé représentent 40% de notre budget", a encore rappelé le président de l'OM, qui était accompagné de l'actionnaire principale, Margarita Louis-Dreyfus. "Ce soir, on est déçu, mais ce n'est pas fini", a déclaré ensuite la veuve de Robert Louis-Dreyfus. "J'ai toujours confiance en Didier (Deschamps) et dans l'équipe", a-t-elle ajouté. "On a essayé cette saison de tout jouer, on va peut-être tout perdre. Si c'est le cas, on fera mieux l'an prochain", a conclu M. Labrune.

Réf : lemonde.fr

l'OM bien mal parti après sa défaite face au Bayern

L'Olympique de Marseille n'a pas réussi à faire d'exploit face au Bayern, en quart de finale aller de la Ligue des Champions, mercredi soir, au Stade Vélodrome. Le Bayern de Ribéry s'est imposé 2-0. Buts de Gomez (44) et Robben (70).

Pour son retour à Marseille avec le maillot du Bayern Munich, Frank Ribéry, chouchou du Vélodrome de 2005 à 2007, n'a pas brillé ce mercredi.Brouillon, manquant de simplicité, jamais décisif et très bien pris par un excellent Azpilicueta, Ribéry a déçu, donnant la même image que celle qu'il offre presque systématiquement en équipe de France depuis le désastre de Knysna. «S'il a envie d'être moins bon sur un match, ce serait bien que ce soit celui-là», avait déclaré Didier Deschamps mardi. Il a été exaucé, même si cela n'a pas suffi à l'OM. Cependant, en ayant perdu 2-0, à domicile, l'OM anéantit ses chances pour les demi-finales et voit son avenir en Ligue des Champions compromis avant le match retour mardi prochain à Munich, en Allemagne.

AC Milan-Barça : un vrai choc des cultures


Dans l'autre match de la soirée, l'AC Milan a bien résisté au FC Barcelone (0-0) dans une très belle partie entre deux écoles de football, à San Siro, mais les Catalans ont eu les meilleures occasions et restent mieux placés pour la qualification. Un vrai choc des cultures. A la flamboyance du jeu catalan, les Lombards ont répondu par la tactique «à l'italienne» : attendre, et frapper vite en contres. Massimiliano Allegri a visiblement adopté la stratégie qui avait réussi à l'Inter de José Mourinho il y a deux ans.

Mais le Milan n'a pas exploité ses ballons d'attaque aussi bien que l'avait fait l'Inter 2010 pour éliminer la Barça (3-1 à San Siro). Il a toujours manqué un brin de justesse dans le dernier geste, comme ce contrôle raté de Zlatan Ibrahimovic dans la surface (57), puni d'une contre-attaque qui a coûté un carton jaune à Alessandro Nesta pour avoir arrêté irrégulièrement Messi.

Messi a toutefois pris sa chance à plusieurs reprises, marquant même - mais hors-jeu (18), puis Abbiati a bloqué son tir (25) et Massimo Ambrosini, qui lui a tout de même chipé quelques ballons, a contré une de ses frappes (76). Et sans un arrêt de Christian Abbiati à la 88e minute, toujours devant Messi, le Milan serait dans une position bien plus difficile pour le match retour le 3 avril.

Réf : leparisien.fr

Barça, Real Madrid, Bayern, Chelsea : qui gagnera la Ligue des champions ?

Les résultats des quarts de finale aller de la Ligue des champions ont confirmé que le futur vainqueur devrait se nommer Real Madrid, FC Barcelone, Bayern Munich ou Chelsea.
 
Comme la plupart des pronostiqueurs l'avaient prévu, les demi-finales de la Ligue des champions devraient opposer le Real Madrid au Bayern, et le FC Barcelone à Chelsea. Reste à savoir lequel de ces clubs possède le plus de chances de soulever le trophée à Munich.

Real - Barça, finale rêvée
Dès le tirage au sort du tableau des quarts et des demi-finales, les amateurs de ballon rond ont noté qu'une finale entre le Real Madrid et le FC Barcelone était possible. Le Clasico ultime, offert la saison dernière au stade des demi-finales de la Ligue des champions, pourrait cette fois avoir lieu au sommet, pour l'attribution du plus prestigieux trophée de clubs.

Le Bayern Munich à la maison
Pour que les socios aient leur finale entre le Real Madrid et le Barça, il faudra tout de même que le club Merengue se débarrasse du Bayern Munich. Sachant que la finale de la Ligue des champions a lieu cette année à l'Allianz Arena, les Bavarois, impressionnants depuis le début de la compétition et encore une fois maîtres de leur sujet devant l'OM, se présentent de plus en plus comme l'équipe à éviter. 

 Chelsea, outsider de luxe
Si le Bayern Munich peut faire peur, Chelsea ne suscite en revanche plus autant d'inquiétudes aux prétendants au titre que par le passé. Les Londoniens vivent une saison difficile sur le plan national et leur effectif, pourtant composé de grands noms, ne dégage pas la force qu'il devrait. Mais tout connaisseur de foot sait que les Drogba, Lampard ou Terry sont capables d'inquiéter n'importe quelle équipe en Europe.

Real Madrid, Bayern Munich, FC Barcelone, Chelsea... sauf catastrophe, l'un de ces clubs remportera la Ligue des champions le 19 mai prochain. Mais lequel ?

source: tf1.fr

Ligue des champions: le Real Madrid et Chelsea font une bonne opération

Le Real Madrid et Chelsea ont réalisé mardi une bonne opération en vue de la qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions, en s'imposant respectivement à Nicosie contre l'Apoel Nicosie (3-0) et à Lisbonne contre le Benfica Lisbonne (1-0), en quarts de finale aller.

Grandissimes favoris face aux Chypriotes, les Madrilènes ont longtemps buté sur une défense regroupée avant de faire la différence.

L'attaquant français Karim Benzema a d'abord ouvert le score de la tête (1-0, 74e) sur un centre du Brésilien Kaka, qui s'est ensuite lui-même chargé de creuser l'écart d'une frappe du droit (82e). Benzema a ensuite pratiquement scellé la qualification de son équipe en marquant dans le but vide (90e).

Pendant plus d'une heure, l'Apoel Nicosie avait auparavant courageusement contenu les assauts du leader du Championnat d'Espagne, maladroit à la conclusion de ses actions, à l'image de Karim Benzema qui avait expédié une reprise à bout portant au-dessus de la barre transversale (33e).

Dans l'autre rencontre, Chelsea, qui a retrouvé quelques couleurs depuis le remplacement de l'entraîneur André Villas-Boas par Roberto Di Matteo, a aussi dû attendre avant de trouver l'ouverture: bien servi par l'Espagnol Fernando Torres, plus à l'aise à la construction qu'à la finition, l'Ivoirien Salomon Kalou crucifiait de près Guilherme Artur et scellait la victoire de son équipe (75e).

Choc Milan-Barça

Les Lisboètes pourront regretter leurs nombreuses occasions ratées, à l'image des sauvetages sur leur ligne du gardien Petr Cech (56e, 66e) et du défenseur David Luiz (47e), tout comme la main de John Terry dans sa surface de réparation non sifflée par l'arbitre (60e).

Avant le but de Kalou, son coéquipier Juan Mata avait lui trouvé le poteau (61e) pour l'une des rares occasions dangereuses des Londoniens.

Mercredi, les deux autres quarts de finale mettent aux prises Marseille et le Bayern Munich, ainsi que l'AC Milan et Barcelone pour le choc de ces quarts de finale.

Le club allemand, quatre fois vainqueur de l'épreuve et qui rêve de jouer la finale dans son stade le 19 mai, partira largement favori face à un OM moribond (huit matches sans victoire, dont sept défaites) et privé de plusieurs éléments-clés (Mandanda, Diawara et peut-être Rémy).

Quant à l'affrontement entre le Milan et le Barça, tenant du titre, il promet beaucoup après la spectaculaire double confrontation entre ces deux géants européens lors de la phase de groupes.

Les deux équipes avaient fait match nul 2-2 au Camp Nou, avant une victoire 3-2 de Barcelone à Milan au bout d'un match superbe, même si sans enjeu.

Les quarts de finale retour auront lieu le mardi 3 et le mercredi 4 avril.

En demi-finales (matches aller les 17 et 18 avril, matches retour les 24 et 25 avril), le vainqueur de Nicosie-Real affrontera celui de Marseille-Bayern, alors que le vainqueur de la confrontation Benfica-Chelsea se mesurera à celui de Milan-Barça.

La finale aura donc lieu à l'Allianz Arena de Munich le 19 mai.

Source : nouvelobs.com

APOEL, on remet ça ?


Après l’exploit réalisé face à Lyon, l’APOEL Nicosie s’attaque cette fois-ci au Real Madrid en quarts de finale de la Ligue des Champions. Sans la moindre appréhension.

«Nous avons fait quelque chose d'exceptionnel, quelque chose qui ne pourra jamais se reproduire». L’exceptionnel, selon le président de l'APOEL Phivos Erotokritou, peut-il être supplanté par l’extraordinaire, l’improbable ? Les mots manquent pour qualifier ce que constituerait une qualification du petit club chypriote au détriment de l’ogre Real Madrid. Cette fois, la montagne à gravir parait infranchissable. Ce n’est plus simplement David contre Goliath. Ni même le pot de fer contre le pot de terre. Ce sont bel et bien deux mondes diamétralement opposés qui vont s’affronter. Le Real Madrid, neuf fois champion d’Europe, le club le plus riche du monde avec 480 millions d’euros de budget, le club de tous les records en matière de transferts et de tous les excès à l’image du complexe touristique, le «Real Madrid Resort Island», qui sortira de terre en 2015 aux Emirates arabes unis. Face à ce mastodonte : l’APOEL Nicosie, présent pour la première fois de son histoire à ce stade de la compétition, et ses modestes 10 millions d’euros de budget, soit quasiment celui de Tours, pensionnaire de Ligue 2 (!). Sur le papier, il n’y a pas photo. Un gouffre incommensurable sépare ces deux clubs.

Le secret de l’APOEL, c’est le bloc, notre cœur

Reste que l’APOEL s’est tout de même payé le luxe d’éliminer le FC Porto et le Shakhtar Donetsk en phase de poules avant de surprendre Lyon en 8es de finale. Un CV suffisant pour rester sur ses gardes. Nicosie, «ce n’est pas génial mais ce n’est pas très friable non plus», nous avait indiqué Didier Ollé-Nicolle, entraîneur de l’Apollon Limassol pendant 4 mois cette saison, avant la double confrontation face à l’OL. Une équipe limitée mais qui sait mieux que quiconque gérer la supériorité adverse. Une supériorité acceptée et totalement maîtrisée. De toutes les équipes encore en lice, l’APOEL est l’équipe qui a inscrit le moins de buts (7), qui a effectué le moins de tirs non cadrés (19), le moins de tirs cadrés (21) et le moins de corners (23). Sans oublier une possession de balle toujours en faveur de ses adversaires. A chaque fois, Nicosie s’en est pourtant sorti. Une véritable équipe hérisson, capable de piquer au moment où on s’y attend le moins. «Le secret de l’APOEL, c’est le bloc, notre cœur, reconnaît Esteban Solari, le petit frère de Santiago, ancien de la maison madrilène, à nos confrères de Marca. L'union qui existe dans cette équipe est celle qui nous a portés jusqu'à maintenant».

Nicosie croit en sa bonne étoile
Mais ces caractéristiques seront-elles suffisantes pour résister à Ronaldo, Benzema et consorts ? Les qualités de cœur peuvent-elles réellement prendre le dessus sur le talent et les qualités individuelles madrilènes ? «Ce qu’on est en train de réaliser est incroyable et au-delà de nos attentes, note Solari. C’est la raison pour laquelle on ne va pas abandonner maintenant. Notre plus belle victoire, c’est la joie que l’on donne à nos supporters.» L’attaquant chypriote est même persuadé qu’une énième surprise est possible. «Si nous pensions que nous ne pouvons pas gagner, nous ne jouerions même pas cette rencontre. Il y a des possibilités de battre le Real. Avec le Barça, Madrid est certainement la meilleure équipe du monde. Mais nous avons foi en ce que nous faisons et nous allons essayer. Ici, avec nos supporters, nous avons des options». Le Real Madrid, qui a l’intention de jouer à Nicosie avec 4 attaquants, est prévenu…

Source : sport24.fr


René Girard : « les Parisiens peuvent être contents »

 
René Girard, l'entraîneur de Montpellier
 Leader de Ligue 1 avec son équipe De Montpellier, René Girard préfère se concentrer sur sa formation plutôt que de spéculer sur les carences parisiennes. «Même en étant très moyens depuis quelque temps, en ayant pas mal de réussite sur les fins de matchs, ils sont encore passés à côté de la correctionnelle à la maison, juge le coach héraultais.

Ils sont arrivés encore à faire match nul alors que les Bordelais méritaient amplement de remporter ce match. Ils peuvent être contents de prendre un point. On savait qu’en cas de nul on serait devant. On se retrouve leaders à la différence de buts, cela veut dire qu’on fait un championnat costaud dans tous les domaines, qu’on n’est pas là par hasard. Mais on voit que cela va vite, une équipe passe devant, un coup c’est l’autre, il faut rester vigilants. Il faut qu’on reste sereins, ne pas se préoccuper de Paris. »

Inter Milan : Massimo Moratti se sépare de son entraineur

Massimo Moratti, le propriétaire de l'Inter Milan, a décidé de se séparer de Claudio Ranieri, son entraineur, moins de sept mois après son arrivée. Andrea Stramaccioni l'entraîneur de la Primavera, l'équipe réserve, lui succède.
Massimo Moratti n'en pouvait plus. Excédé par la nouvelle défaite de son équipe sur la pelouse de la Juventus (2-0) dimanche, déjà la 12e en Serie A, le propriétaire historique de l'Inter a tranché. Ce lundi soir, Claudio Ranieri n'est plus l'entraineur d'un club milanais qui se traîne à une indigne huitième place. A 10 longueurs de la Lazio Rome et de la dernière place qualificative pour la prochaine Ligue des Champions. A 60 ans, le technicien romain est déjà le 16e coach de la Péninsule à perdre son poste cette saison. Un record en Europe.
 Dans un communiqué publié sur le site du club, dans la soirée de lundi, le charismatique propriétaire a tenu toutefois à remercier "avec sincérité" Ranieri "pour son professionnalisme et pour s'engagement" depuis son arrivée le 22 septembre dernier en remplacement de Gian Piero Gasperini. Considéré comme un grand espoir parmi les techniciens italiens, Andrea Stramaccioni, l'entraineur de la Primavera qui vient de remporter la NextGen Cup (Ligue des champions des jeunes), lui succède sur le banc du vainqueur de la Ligue des Champions 2010. Il est attendu dès mardi matin au centre sportif "Angelo Moratti" pour prendre ses nouvelles fonctions.
Villas Boas ou Deschamps en juin prochain ?
 L'aventure milanaise aura donc été courte, moins de sept mois, pour Ranieri, ce technicien d'expérience qui pensait pourtant avoir relancé l'Inter en début d'année. Avec sept victoire de rang, les Nerrazzuri s'étaient rapprochés des premières places et affichaient enfin une qualité de jeu digne d'une équipe ayant tout gagné il y a moins de deux ans. Diego Milito avait retrouvé le chemin des filets et des joueurs comme Maicon ou Stankovic un second souffle. Mais une nouvelle série de défaites en championnat, assortie à l'élimination face à l'OM en 8e de finale de la Ligue des Champions le 13 mars dernier, ont  considérablement obscurci le destin de l'ancien manager de Chelsea. La défaite sur la pelouse de la Juve (0-2), dimanche, malgré une prestation combative de ses hommes, l'aura scellé. Sur les dix derniers matches de championnat, l'Inter en a perdu six et gagné un seul (trois nuls). Trop, pour les nerfs d'un président pourtant réputé fidèle.
Dans la journée de lundi, Moratti avait pourtant confirmé son entraineur dans ses fonctions, jugeant la défaite à Turin "imméritée". Mais selon la presse italienne, Ranieri lui même ne se faisait plus d'illusion. Son sort aurait été scellé dans l'après-midi au cours d'une réunion au sommet de deux heures entre Moratti, Marco Branca e Piero Ausilio, respectivement directeur technique et directeur sportif de l'Inter. Interrogé dans l'après-midi, Andrea Stramaccioni n'avait d’ailleurs pas attendu l'officialisation du départ de son aîné pour déposer sa candidature. "Je ne pourrais jamais dire non à Moratti", déclarait ainsi le nouvel entraineur interiste sur le site de la Gazzetta dello Sport dans l’après-midi. Reste à savoir si l'arrivée de ce jeune technicien est un simple intérim ou un choix sur le long terme. Dans la presse italienne, les noms d'Andres Villas Boas et de.... Didier Deschamps sont souvent cités pour arriver juin prochain.

Ligue 1:Toulouse avec les gros poissons

Vainqueur d'Auxerre (1-0, but de Tabanou), Toulouse a repris la quatrième place à Lyon et confirme sa capacité à défendre ses chances pour une qualification européenne. Le TFC devance l'OL d'un point et a encore trois longueurs de retard sur Lille (3e).

 Pour ceux qui en doutaient encore, il faudra bel et bien compter sur Toulouse dans la course à la Ligue des Champions en cette fin de saison. En s'imposant à domicile devant Auxerre (1-0) avec un but de Franck Tabanou (38e), la formation d'Alain Casanova a repris la quatrième place du classement abandonnée samedi à Lyon, vainqueur de Sochaux (2-1). Les Toulousains ont de nouveau un point d'avance sur l'OL, et trois de retard sur le troisième, Lille, lui aussi victorieux à Evian (0-3). De quoi donner encore plus de piment à la rencontre Lille-Toulouse de la semaine prochaine. Au passage, le TFC a aussi rapproché Auxerre encore un peu plus de la Ligue 2. La première de Jean-Guy Wallemme n'a pas permis à l'AJA de rebondir, et le club bourguignon, dernier, pointe à cinq longueurs du premier relégable, Caen, lui aussi battu à Dijon (2-0).

 Face à la lanterne rouge, Toulouse a confirmé sa solidité du moment. Depuis le revers concédé à domicile face à Saint-Etienne (0-1) à la mi-février, les Toulousains ont enchaîné six matches sans défaite en Ligue 1, dont cinq victoires. Celle acquise face à l'AJA a été inspirée par Franck Tabanou. L'international Espoirs était un peu dans le dur ces dernières semaines. Il est sorti de sa torpeur au bon moment pour le TFC. Auteur d'une prestation d'ensemble convaincante, le gaucher toulousain a surtout inscrit le but de la victoire d'une superbe frappe croisée dans la lucarne d'Olivier Sorin (1-0, 38e), après un bon travail d'Adrien Regattin.

 Fort de son avantage, Toulouse s'est appuyé sur son organisation et sa discipline défensive pour préserver son but d'avance. L'équipe d'Alain Casanova n'a pas tremblé non plus. Malgré des intentions louables, Auxerre a affiché ses limites du moment, pour ne pas dire de la saison, au Stadium. L'AJA n'est pas parvenue à se créer une occasion digne de ce nom en deuxième période, et le TFC aurait même pu aggraver la marque avec un peu plus de lucidité dans ses contre-attaques. Pour le nouvel entraîneur bourguignon, Jean-Guy Wallemme, la mission sauvetage commence mal. La réception de Valenciennes la semaine prochaine permettra d'en savoir davantage sur les chances, de plus en plus infimes, de maintien de l'AJA en Ligue 1.

Réf : eurosport.anayou.com

L'AC Milan a bien préparé le Barça

Allegri devrait choisir Alessandro Nesta et Philippe Mexès en charnière en Ligue des champions.


L'AC Milan a battu l'AS Rome (2-1) pour prendre sept points d'avance en tête du championnat d'Italie, samedi lors de la 29e journée, en attendant le match de la Juventus, et s'est mis en confiance avant de recevoir le FC Barcelone en quarts de finale aller de la Ligue des champions.
La Juventus Turin, dauphin du Milan, devait recevoir hier soir l'Inter pour tenter de maintenir l'écart à quatre longueurs. Dans le second match de samedi, l'Udinese a repris la troisième place grâce au point rapporté de Palerme (1-1) par l'espoir roumain Gabriel Torje (84), qui a répondu au but de Fabrizio Miccoli (31). Milan est prêt. Sa victoire difficile, malgré sa nette domination d'ensemble, lui permet de se focaliser sur son grand défi européen, et elle a aussi montré son talent et son sens de la compétition.
L'inévitable Zlatan Ibrahimovic s'est échauffé avant son nouveau duel avec Lionel Messi en signant un doublé, ses 21e et 22e buts en Serie A cette saison.
Il a sorti son équipe de l'ornière d'un geste de classe, une chandelle façon rugby pour lober le gardien, conclue par une reprise de la tête après avoir dominé dans les airs le Danois Simon Kjaer (83). L'AS Rome avait pourtant ouvert le score contre le cours du jeu juste avant la pause, Pablo Osvaldo déviant dans le but une frappe de Daniele De Rossi (44). Mais les «Rossoneri» n'ont pas perdu leur sang-froid face à ce but hold-up, et ont égalisé peu après la reprise sur un penalty pour une main de De Rossi. «Ibra» a transformé la sanction (53).
Dans le jeu, Milan a surclassé la Roma et a mérité sa victoire. Seul point noir pour Massimiliano Allegri, Thiago Silva, le point fort de la défense du Milan, est très vite sorti sur blessure, et «il est quasiment impossible qu'il joue mercredi» contre le Barça, a dit l'entraîneur milanais.
Gêné à la cuisse déjà avant le match, le Brésilien a demandé son remplacement au bout de dix minutes. Allegri devrait choisir Alessandro Nesta et Philippe Mexès en charnière en Ligue des champions.
Et il a récupéré Kevin-Prince Boateng, entré à la 55e minute. De retour d'un mois de blessure, il devrait être titulaire contre les Catalans, contre lesquels il avait marqué un superbe but lors de la phase de poule (défaite 3-2 à San Siro).

Réf : lexpressiondz.com

Le PSG se complique la vie

Face à Bordeaux, le PSG s'est compliqué la vie en concédant un nouveau nul. Défaillants dans le jeu, les Parisiens ont clairement déçu leurs supporters. Le club se retrouve derrière Montpellier au classement.


Paris n'est plus leader. Au terme de huit jours compliqués, où le PSG a laissé quatre points face à Caen et Bordeaux, Montpellier a repris les devants. Défait en Coupe de France face à Lyon, c'est paradoxalement lors de ce match perdu, le seul de l’année 2012, que le PSG a le plus convaincu. Dimanche, en effet, le PSG n'a jamais trouvé la bonne formule. Carlo Ancelotti a eu beau changer trois fois de système et les joueurs qui l’animaient, sans un geste de génie de Bodmer, c'est peut-être avec un zéro pointé que ce PSG aurait quitté le Parc des Princes. Défensivement peu rassurante, en grande partie en raison de l'errance de Sakho pas très inspiré, l'équipe francilienne déçoit et permet à Montpellier de croire réellement au titre.

Sur Canal +, Leonardo a reconnu que « ce n'était pas bon. On vit un moment difficile comme toutes les autres équipes. On a eu une réaction. On a  du mal à construire. Ce n'est pas bon, mais on est tranquille. Il reste 27 points. » Pastore a du mal à retrouver de sa superbe. Momo Sissoko manque de percussion. Hoarau est mal servi. Nenê recommence à trop garder le ballon. Derrière, ça bat de l’aile. Cette équipe du PSG manque de liant, de collectif et attend trop d’être sauvée par les exploits individuels d’un des leurs au lieu d’imposer un jeu conquérant.

Après deux matchs compliqués, Montpellier a su réagir samedi face à Saint-Etienne par le jeu, en retrouvant son esprit d’équipe. Pour cela les Héraultais se sont parlés. Ils se sont même soudés autour des critiques de leur président. A Paris, on semble attendre le verdict du championnat tranquillement, à un train de sénateur, en se disant que ce fameux titre ne peut pas échapper aux hommes au maillot Marine et Rouge. Une erreur de jugement qui pourrait coûter cher au PSG qui n’a désormais plus les cartes en mains et qui devra compter sur un bon parcours tout en espérant que Montpellier chute à nouveau. A force de jouer avec le feu, ce PSG risque bien de se brûler…

Source: football365.fr.

Barça : Daniel Alves grillé en plein foot en slip !

Daniel Alves, pendant que ses partenaires s’imposaient sur la pelouse de Majorque (2-0) hier, prenait lui du bon temps. En slip.


 Le Barça n’a pas repris de point au Real Madrid, hier. Alors que les Catalans se sont imposés sur la pelouse de Majorque (2-0), le Real Madrid a tranquillement disposé de la Real Sociedad (5-1). Même si l’opération remontée a été un échec, le Barça a donc fait le boulot. Sans Daniel Alves.
 
Alves sur la plage en slip
 En effet, le latéral brésilien, de son côté, était suspendu pour cette rencontre. Mais Daniel Alves n’a pas chômé non plus. Et il a même joué au foot. Non, pas à l’entraînement du Barça, mais sur une plage. Et en slip. Daniel Alves a en effet été aperçu sur une plage du Village Olympique, s’adonnant à une petite partie de « foot-volley » sur le sable. Et le tout en slip. Cela valait bien sa petite photo.


Réf : le10sport.com

Ligue 1 : Montpellier repasse en tête



Montpellier repasse en tête du championnat grâce à un but d'Olivier Giroud à la 89e minute face à Saint-Etienne.

Montpellier a repris la tête du classement du Championnat de France après un succès arraché in extremis face à Saint-Etienne sur un but de Giroud (1-0), samedi lors de la 29e journée, mettant la pression sur le Paris SG qui reçoit Bordeaux dimanche au Parc des Princes.

 Après un revers à Nancy et une élimination en Coupe de France par les amateurs du Gazéléc d'Ajaccio, les troupes de René Girard ont réagi de la plus belle des manières même si la libération  n'est intervenue qu'à la 89e minute grâce à un nouveau coup de patte d'Olivier Giroud.   Le 18e but du meilleur buteur de L1 redonne un point d'avance aux Montpelliérains sur les Parisiens et relance le suspense pour cette fin de championnat.

 Cette victoire tombe d'autant mieux que Lille (3e), facile vainqueur d'Evian-Thonon (3-0), ne baisse pas de régime et n'a pas dit son dernier mot pour accrocher l'une des deux places directement qualificatives pour la phase de poules de la Ligue des champions.

Nouvelle soirée catastrophique pour l'OM
Dans la lutte pour la 3e place et le barrage de la C1, Lyon reste au contact (4e) après son succès contre Sochaux (2-1).  Quatre longueurs séparent toujours l'OL du champion de France mais les Lyonnais ont visiblement tourné la page après leur sortie de route désastreuse en Ligue des champions contre l'Apoël Nicosie et viennent d'enchaîner quatre victoires d'affilée, toutes compétitions confondues, depuis cette humiliation.

C'est le scénario inverse que vit Marseille, qualifié pour les quarts de finale de la C1 mais moribond sur la scène nationale. Sonné par cinq revers consécutifs en L1 et une élimination piteuse en Coupe de France contre les amateurs de Quevilly, l'OM a connu une nouvelle soirée catastrophique à Nice (1-1) et ne décolle pas (8e). Privés très tôt de Diawara, sorti sur blessure, et réduits à dix juste avant la pause après l'exclusion de Kaboré, les Marseillais repartent de Nice avec un résultat qui ne présage rien de bon avant le grand rendez-vous européen contre le Bayern Munich, mercredi au Vélodrome.

En bas de tableau, Nancy (11e) a comptabilisé une 4e rencontre d'affilée sans défaite à Brest (1-0). A ce rythme, le maintien se rapproche pour les Lorrains. Pour Ajaccio (14e), contraint au nul par Lorient (1-1), il faudra en revanche lutter jusqu'au bout.

Source : leparisien

Ligue 1 : Marseille stoppe enfin l'hémorragie

Au terme d'un match électrique, Marseille, à dix durant plus de 45 minutes, est allé chercher un nul au mental à Nice (1-1). Les Phocéens stoppent leur série de défaites et se sont rassurés au niveau de l'état d'esprit.


Nice-Marseille 1-1
Nice : Monzon sp (76e)
Marseille : A. Ayew (56e)

Un point au mental pour Marseille. Au cours de ce duel assez chaud, qui a vu de nombreuses fautes commises de part et d'autre, l'OM a enfin montré des vertus de solidarité et de combativité pour s'opposer à de courageux Niçois. Bien loin du visage affiché à Caen face à Quevilly, les Phocéens ont surtout fait preuve de caractère en seconde période, lorsqu'il a fallu résister aux Aiglons en infériorité numérique. Car l'expulsion de Kaboré avant la pause, pour un rouge direct (45e+3), a bien compliqué la tâche des hommes de Didier Deschamps. Un coup dur pour l'OM qui avait du déjà faire face à la blessure précoce de Diawara remplacé par… Kaboré (8e). Le Burkinabé n'aura pas foulé longtemps la pelouse du Ray et laissait ses partenaires à dix après un premier acte insipide qui aura vu Valbuena ne pas cadrer une frappe des 20 mètres (27e), et le jeune Goncalves l'imiter de l'autre côté (30e).

Cette expulsion avait donc le don de remobiliser les Phocéens. Plus combatif, plus compact au niveau du bloc, l'OM faisait corps pour contrer des Niçois toujours aussi offensifs. Et profitait même d'un contre pour ouvrir le score. Un bon travail d'Azpilicueta sur la droite permettait en effet à André Ayew de tromper Ospina du pied droit (0-1, 56e). Un coup du sort qui révoltait des Niçois extrêmement pressants face au but d'un Mandanda souvent impérial. Le gardien sortait le grand jeu devant Coulibaly (49e) et surtout Civelli, grâce à une parade réflexe (72e). Mais à force de pousser, les locaux finissaient par faire plier l'OM sur un penalty obtenu par Goncalves et transformé en force par Monzon (1-1, 76e). Marseille tenait bon jusqu'au bout et empochait, finalement, un bon point. Peut-être le point qui va permettre de relancer une équipe à la dérive et bien préparer la réception du Bayern mercredi…

Les joueurs du match
 Avec sa grande performance à Nice, Steve Mandanda fera encore regretter un peu plus son absence face au Bayern mercredi. Le gardien de l'OM a bien commandé sa défense et réalisé deux belles parades qui ont maintenu son équipe à flots. On signalera également la performance très intéressante d'Esmael Goncalves, qui fêtait sa première titularisation en Ligue 1 et étonnant de maturité pour son jeune âge (20 ans).

On n'a pas aimé
 Il avait eu une vive altercation verbale à la mi-temps du dernier Quevilly-OM avec son entraîneur et son expulsion ne va pas arranger les choses. Appelé rapidement à suppléer Diawara, blessé, Charles Kaboré a signé une entrée catastrophique en multipliant les approximations balle au pied et commettant deux fautes grossières dont une qui lui a valu de rejoindre les vestiaires avant les autres. Le Burkinabé réalise une saison bien anonyme…

Résultats de la 29e journée:
Samedi 24 mars
Ajaccio - Lorient 1-1
Brest - Nancy 0-1
Evian - Lille 0-3
Lyon - Sochaux 2-1
Montpellier - Saint-Etienne 1-0
Nice - Marseille 1-1
21h
Valenciennes - Rennes

Dimanche 25 mars
17h
Dijon - Caen
Toulouse - Auxerre
21h
Paris SG - Bordeaux

FC Barcelone: Pep Guardiola, "J'enregistrerai Milan AC - AS Rome"

Pep Guardiola, l'entraîneur du FC Barcelone, se déplacera avec les siens à Majorque ce samedi à 18h. Dans le même temps, le Milan AC et l'AS Rome s'affronteront en Serie A. Pas de problèmes, coach Pep fait chauffer son magnétoscope pour disséquer ses futurs adversaires en Ligue des Champions à la loupe !
Barcelone et Milan siamois du week-end

Même si "6 points ça fait beaucoup", comme le rappelle Pep Guardiola, force est de constater que le FC Barcelone a remonté 4 points au Real Madrid en 2 journées, et que la course à la Liga se fait de nouveau haletante. De fait, le prochain Clasico qui se jouera au Camp Nou risque de valoir son pesant d'or.

Mais le coach espagnol préfère se concentrer sur le présent. Les blaugrana n'ont pas le temps de calculer, en effet. Ce samedi à 18h, ils sont attendus sur la pelouse de Majorque, tandis que mercredi prochain, ils se déplaceront à San Siro pour affronter le Milan AC en quart de finale aller de la Ligue des Champions. 

Lors de la conférence de presse pré-Majorque, ce vendredi, Guardiola a eu inévitablement une petite pensée pour les Rossoneri, qui eux recevront la Roma à San Siro, pendant que les Catalans joueront à Majorque : "Nous avons déjà joué deux fois contre le Milan cette saison (2-2 au Camp Nou puis victoire 3-2 du Barça à San Siro, en première phase de la C1) mais nous enregistrerons le match contre la Roma, puis nous le regarderons et l'analyserons". 

Pep Guardiola: "Ne pas sous-estimer le Milan"

Même si le Barça est largement favori à l'approche de cette double-confrontation, Guardiola fait preuve d'une grande méfiance envers les champions d'Italie en titre, et leaders actuels de la Serie A : "Milan est une équipe qui a beaucoup d'expérience, qui est attentive sur les phases défensives et très dangereuses en contre-attaque. On ne peut pas sous-estimer une équipe aussi forte". Assez forte pour faire douter le Barça ? On en doute, mais qui sait... L'histoire du football se nourrit des exploits les plus improbables. C'est ce qui fait en partie son charme.

Source : chronofoot

Liga: Le FC Barcelone prend les points face à Majorque

Le FC Barcelone s'est imposé face à Majorque (2-0) et revient virtuellement à 3 points du Real Madrid qui joue dans la foulée.


Le suspense est haletant dans un championnat que l'on disait déjà plié. Deux heures avant que le Real Madrid n'affronte la Real Sociedad, c'était au tour du FC Barcelone d'entrer en scène, contre Majorque. Un club bien connu des Catalans puisque c'était dans cette formation que Samuel Eto'o s'était révélé. Ce sont d'ailleurs les locaux qui se montrent les plus entreprenants en début de rencontre, avant que les coéquipiers de Lionel Messi ne remettent peu à peu le pied sur le ballon.
Mais malgré la multiplication des passes aux abords de la surface, les Blaugrana ne parviennent pas à transpercer la muraille défensive de Majorque. Alors une fois n'est pas coutume, les Catalans vont s'en remettre aux coups de pied arrêtés. Messi tire un coup-franc des 25 mètres, que Busquets dévie avant que Sanchez ne vienne finir le travail à bout portant.

Le Chilien, très en jambes ce samedi se procurera d'ailleurs une nouvelle occasion dans la foulée: alerté par Thiago Alcantara dans le coin droit de la surface adverse, Sanchez voit sa frappe monumentale repoussée par la transversale de Dudu Aouate. Dominateur, le Barça va cependant se voir amputer d'un joueur, en la personne de Thiago Alcantara, qui écope d'un second carton jaune, pour une main peu flagrante.

Le Barça poursuit sa chasse aux points
Mais qu'à cela ne tienne, les Barcelonais vont définitivement se mettre à l'abri à 10 minutes du coup de sifflet final. Suite à une frappe de Messi repoussée par le montant du but, Piqué rôde pour propulser le ballon au fond des filets. C'est le coup de grâce pour Majorque qui perd dès lors tout espoir de revenir dans la partie.

Le FC Barcelone est désormais à trois points du Real Madrid qui affronte à 20h la Real Sociedad. Alors que le clasico du 22 avril approche à grands pas, la fin de saison en Liga s'annonce plus que jamais passionnante.

Source : chronofoot

Ligue 1: Lyon-Sochaux, le choc des revenants

LYON (Reuters) - Chacun à sa manière et à son niveau, Lyon et Sochaux, qui se rencontrent samedi à Gerland pour la 29e journée de Ligue 1, sont des survivants.

L'Olympique Lyonnais est parvenu à surmonter l'élimination humiliante à Nicosie en Ligue des champions pour aligner trois succès consécutifs, deux en championnat et le dernier mercredi en quart de finale de la Coupe de France sur le terrain du Paris Saint-Germain (3-1).

De son côté, le FC Sochaux a su profiter du changement d'entraîneur au début du mois avec le départ de Mecha Bazdarevic. Les troupes d'Éric Hély, ancien coach de la réserve, restent sur deux succès, à Evian (3-2) et contre Nice (2-0).

Les deux clubs savent donc ce que le mot rebond signifie, même si une place européenne est loin d'être acquise pour les Lyonnais, cinquièmes, et si le club doubiste reste dans la zone rouge à la 19e place. Mais il n'a plus que deux points de retard sur le premier non relégable, Caen.

"Il n'y a pas si longtemps, personne ne croyait plus en nous, savoure le Lyonnais Michel Bastos. Et en dix jours, la situation s'est renversée. Beaucoup de gens désormais commencent à compter sur notre équipe."

"Nous, nous y avons toujours cru et nous allons continuer à travailler pour que cette saison soit très réussie, ajoute le Brésilien. Face à Paris, nous avons prouvé que nous avions les qualités nécessaires. Nous allons donc essayer d'aller au bout dans toutes les compétitions."

Lyon disputera le 14 avril face à Marseille au Stade de France la finale de la Coupe de la Ligue, juste après une demi-finale de Coupe de France à Ajaccio face au Gazélec qui peut légitimement lui offrir un autre prestation dans l'enceinte dyonisienne fin avril.

Chypre, c'est fini ? Bastos n'est pas loin de le penser. "C'était un coup très dur pour nous de perdre à Nicosie. Nous, les joueurs, nous avions à coeur de prouver que ce qui s'était passé était de notre faute. Nous nous devions de changer la situation", juge-t-il.

UN CALENDRIER AVANTAGEUX

Le rebond est significatif, face à des "gros bras" de la Ligue 1 comme Lille, le champion sortant battu 2-1, Saint-Etienne, un concurrent direct pour l'Europe maté sur son propre terrain (1-0), et le PSG, leader du championnat.

Lyon peut aussi tabler sur un calendrier de Ligue 1 avantageux qui lui propose quatre déplacements pour six matches à Gerland. Mais l'avant-centre Lisandro reste prudent.

"Les dix matches qu'il nous reste à jouer seront dix finales. Peu importe l'adversaire, nous avons déjà affronté des équipes soi-disant plus faibles et nos résultats ont été médiocres. Nous devons gagner de l'assurance et de la confiance pour décrocher une place sur le podium", estime l'Argentin.

Les Sochaliens débarquent quant à eux en terre rhodanienne avec une confiance qui revient peu à peu et tient, selon certains joueurs, à l'apport du nouveau patron technique, Eric Hély.

"Cet entraîneur nous donne confiance, connaît le caractère et la personnalité de chacun (Hély a dirigé tous les anciens jeunes devenus pros). Ca a fait un électrochoc dans la tête", avoue le milieu de terrain Loïc Poujol.

La métamorphose s'est traduite en attaque par cinq buts marqués lors des deux derniers matches.

"On est mieux entre nous sur le terrain, on court plus. Maintenant tout reste possible, il reste encore des matches et il va falloir prendre des points contre Lyon", note le défenseur Sébastien Corchia.

Parmi les artisans du renouveau, l'attaquant Édouard Butin, auteur de trois des cinq derniers buts, semble indispensable au dispositif d'Éric Hély qui l'a mis avant-centre plutôt qu'excentré, en soutien de la pointe.

Les Francs-Comtois sont toutefois conscients du renouveau constaté également chez leurs adversaires du jour. "Ce n'est plus le grand Lyon ? Ça reste un grand club. Il faudra rester concentrés", souligne Corchia.

source: nouvelobs/Pascal Liétout

Les ténors entrent en lice

Marqués par l’entrée en lice des ténors, les seizièmes de finale aller de la Ligue des Champions se disputent ce week-end à travers l’Afrique. On suivra notamment les déplacements de l’Espérance de Tunis, tenante du trophée, et du TP Mazembe, dont c’est le retour au niveau continental. 


Les choses sérieuses commencent ce week-end en Ligue des Champions, avec les seizièmes de finale. Un tour marqué par l’entrée en lice des ténors, jusqu’alors exemptés. Les deux plus attendus joueront à l’extérieur : l’Espérance de Tunis, tenante du trophée, ira défier les Gambiens de Brikama United, tombeurs précédemment de l’US Ouakam, alors que le Tout Puissant Mazembe a fait le court déplacement de Kitwe (Zambie), où les Power Dynamos l’attend de pied ferme. Pour les Corbeaux, il s’agira d’un retour à l’épreuve reine, qu’ils ont remportée en 2009 et en 2010, après une suspension d’un an. Vainqueurs surprise des Astres de Douala au tour précédent, le Diplomates FC compte bien confirmer à Bangui face aux Soudanais d’El-Hilal, habitués du dernier carré. Egalement à domicile, les deux représentants algériens, l’ASO Chlef et la JSM Bejaïa tenteront de prendre de l’avance face respectivement à l’AS Vita Club (RD Congo) et à l’AFAD Djekanou (Côte d’Ivoire). Mêmes objectifs pour les Béninois du Tonnerre Bohicon, face au Stade Malien de Bamako, et les Angolais du Recreativo Libolo, devant les redoutables Sunshine Stars (Nigeria). Egalement à suivre avec attention, l’opposition entre les Dolphins de Port-Harcourt et Coton Sport de Garoua peut être considéré comme un choc entre pays en pleine déconfiture footballistique, dont les représentants tenteront de défendre l’honneur au niveau continental. Enfin, les Egyptiens d’Al-Ahly, privés de compétition depuis près de deux mois, et les Tunisiens de l’Etoile du Sahel, en pleine crise, auront des déplacements moins faciles qu’il n’y paraît en Ethiopie et au Rwanda.

Programme des 16èmes de finale aller :

ASO Chlef (ALG) – AS Vita Club (RDC)
Diplomates FC (RCA) - El Hilal (SOU)
Zamalek (EGY) - Africa Sports (CIV)
Horoya (GUI) - MAS Fès (MAR)
JSM Bejaïa (ALG) - AFAD Djekanou (CIV)
APR FC (RWA) - Etoile Sahel (TUN)
Coffee (ETH) - Al Ahly (EGY)
Tonnerre Bohicon (BEN) - Stade Malien (MLI)
Recreativo do Libolo (AGO) - Sunshine Stars (NGA)
Revenue Authority (OUG) - Djoliba (MLI)
Liga Muçulmana (MOZ) – Dynamos FC (ZIM)
Brikama Utd (GAM) – Espérance Tunis (TUN)
Dolphins (NGA) - Coton Sport Garoua (CAM)
Berekum Chelsea (GHA) - Raja Casablanca (MAR)
Platinum FC (ZIM) - El Merreikh (SOU)
Power Dynamos (ZAM) - TP Mazembe (RDC)